Celui qui croit au hasard et à la gravitation n' a jamais regardé l'univers


La galaxie d'Andromède (M31) avec deux satellites. Photo : Adam Evans/Wikipedia
La galaxie d’Andromède (M31) avec deux satellites. Photo : Adam Evans/Wikipedia

Petit à petit la Communauté scientifique se rend compte que les modèles qu’elle enseigne ne rendent pas compte de la réalité, et se rapproche de plus en plus des conceptions déposées à l’Académie des Sciences de Paris en 1955 par Léon Raoul Hatem (mais si vous demandez à les consulter, on vous dira qu’il n’y a rien).



Ainsi Niel Ibata (15 ans) a fait la une de la revue scientifique « Nature » suite à la découverte majeure qu’il a faite à partir des observations de son père Rodrigo concernant la galaxie Andromède (une des deux seules galaxies visibles à l’œil nu depuis la Terre).
« Sa théorie pourrait même remettre en cause la physique d’Einstein et Newton ».

(voir article précédent sur ce site)

Ainsi, les galaxies naines ne tourneraient pas autour d’Andromède de façon aléatoire, mais de manière organisée. Or, les lois de l’Astrophysique, essentiellement la « gravitation », n’ont aucun pouvoir d’organiser ces mouvements. Ils ne devraient être qu’aléatoires.
Son père est d’autant plus fier que cette découverte remet donc en cause tout un pan de l’Astrophysique moderne : « soit on se trompe sur la formation de la galaxie, soit sur la gravité« , explique-t-il au micro de RTL. Et d’ajouter « La physique d’Einstein et Newton n’est pas exactement correcte« .

« La galaxie d’Andromède est connue depuis longtemps par les astrophysiciens, et les galaxies naines qui gravitent aux alentours aussi. Mais jusqu’à présent les chercheurs pensaient que les galaxies naines étaient des restes de galaxies plus vastes qui ont peu à peu été englouties par leurs voisines, explique le site techno science. Ainsic chacune serait indépendante de ses voisines. Or, Niel Ibata a montré que ces petites galaxies sont en grande majorité organisées entre elles, en une gigantesque structure aplatie de plus d’un million d’années-lumière de long, en rotation sur elle-même » (cit. Quoi.info). Pas du tout en mouvements aléatoires comme si le hasard régissait leurs mouvements, et pas du tout ce à quoi on s’attendrait si ces mouvements étaient régis par la seule gravitation (elles tomberaient les unes sur les autres une fois l’énergie de leurs mouvements consommée. Et de toute façon il y en aurait dans tous les sens, elles n’auraient aucune raison de suivre toutes la même route).
L’Astrophysicien strasbourgeois Rodrigo Ibata pense en effet que cela prouve que la gravitation n’est pas seule en cause. « Il y a autre chose ». Il a bien raison. Cet « autre chose » est d’une simplicité enfantine, mais hélas il gêne beaucoup certains.

Evidemment il y a autre chose, et ce qu’on appelle la « gravitation » n’est qu’une résultante attractive de cet « autre chose ». L’énergie, ce n’est pas la gravitation. La gravitation n’a jamais été une énergie. C’est un « effet ». L’énergie, la seule, c’est l’énergie magnétique, attractive ET répulsive. Léon Raoul Hatem explique et démontre comment et pourquoi la résultante de cette dualité magnétique est purement attractive dans la majorité des cas observables, et pourquoi la répulsion devient invisible, BIEN QU’ELLE SOIT TOUJOURS A L’ŒUVRE. On peut constater cela avec les appareils qu’il a conçus pour faciliter l’explication. Ils sont visibles par tous ceux qui veulent, il suffit de demander.

C’est cette réconciliation de la « gravitation » et de « l’électromagnétisme » qui permet (ou permettra si la Communauté scientifique veut bien ouvrir les yeux) cette « UNIFICATION DES CHAMPS » qui lui échappe et qu’elle aimerait tant découvrir. Car pour la Physique, l’une étant attractive, l’autre attractive et répulsive, difficile de n’en faire qu’une seule. Et de cette opposition artificielle découle dans l’atome la nécessité d’inventer la « force forte » et la « force faible » ainsi que le « quantum » pour rendre compte des observations. Alors qu’avec le magnétisme, tout cela est inutile, l’atome est expliqué dans son origine, dans sa formation, dans sa pérennisation, dans sa solidité, dans son évolution. Sans faire appel à aucune autre « force ».

Evidemment, il n’y a pas pas d’autre solution. Des milliers de personnes ont déjà compris cette théorie nouvelle et l’ont reconnue comme la seule possible. Mais même les physiciens qui l’ont admis ont déclaré : « on ne peut rien faire pour qu’elle soit reconnue officiellement. Quiconque prendrait sa défense serait d’emblée mis au ban de la Communauté scientifique ». Ce qui n’empêche pas certains de dire en privé : « il existe un Einstein français, , il est méconnu, il s’appelle Hatem ». Ce genre d’affirmation fait rire certains, qui n’ont jamais été confrontés à ce genre de problème, mais c’est ainsi. Et d’autres bien sûr ont subi le même « black out » dans bien des domaines. Les grandes inventions de Tesla, concurrent d’Einstein à l’époque, qu’on utilise quotidiennement pour la radio, la télé, les satellites, l’électricité etc., ont toutes été attribuées à d’autres, et certaines sont encore gardées secrètes.

Heureusement « les temps sont en train de changer », comme disait Bob Dylan.

Pour que les mouvements des galaxies soient organisés, qu’elles forment elles-mêmes toutes ensemble une super-galaxie de même forme (plate), avec des mouvements réguliers toujours dans le même sens, en respectant les distances entre elles, il faut et il suffit que chaque masse les composant soit un aimant complet muni de ses deux polarités magnétiques. Ce n’est pas ce qu’on apprend à l’université (masse égale gravitation purement attractive), qui supposerait que ces mouvements ne soient nullement organisés, mais brutaux, hasardeux et provisoires.
Le magnétisme, au contraire, implique un synchronisme symétrique de toutes les rotations de tous les astres concernés, dont les noyaux tournent nécessairement à la même vitesse ou selon des rapports de vitesses compatibles (deux ou quatre fois plus vite ou moins vite etc.), ce qui permet de maintenir les distances et donc la cohésion de l’ensemble, car LE SYNCHRONISME EMPECHE LE RAPPROCHEMENT DES MASSES du fait que tout rapprochement implique une augmentation des forces magnétiques, d’où une accélération des rotations et des translations orbitales, seul moyen de maintenir le synchronisme inévitable entre deux aimants libres dans l’espace, d’où un éloignement qui compense le rapprochement.
Et inversement, tout éloignement diminue les forces magnétiques, et donc ralentit les mouvements rotatifs et orbitaux, et ce ralentissement conduit à un rapprochement seul moyen de maintenir l’indispensable synchronisme.

Au final, toute perturbation est « encaissée » et « compensée » (jusqu’à un certain point), et c’est ce qui donne sa cohésion à l’atome et sa solidité à la matière (qui fonctionnent évidemment sur le même modèle que le cosmos constitué d’atomes), sans qu’il y ait besoin d’inventer le « quantum » qui n’est qu’un nom donné à un phénomène observée de la résistance aux changements d’orbite des électrons par rapport aux noyaux !

C’est cela le plus important. Ce que Niel n’a pas encore perçu, c’est que s’il va plus loin, il peut réunifier la Physique des particules et l’Astrophysique avec son constat. Mais ce n’est pas encore demain qu’un tel bouleversement scientifique sera admis.

A partir du moment où des astres ou des galaxies sont en relation magnétique, elles ne peuvent faire autrement que s’organiser pour que les petites tournent autour des plus grosses, dans des mouvements stables et pérennes, car elles ne peuvent plus tomber les unes sur les autres ni s’éloigner, et elles ne peuvent pas non plus cesser leurs mouvements car le magnétisme dualiste reste toujours en action.

Car les mouvements, bien que leur stabilité laisse croire le contraire, sont tout de même en ACCELERATION PERMANENTE, sinon les mouvements s’arrêteraient. Et cette accélération n’est possible que grâce à la DEGRAVITATION entre les pôles en éloignement pendant que les deux autres pôles sont en chute accélérée les uns vers les autres.

La Dégravitation (ou suppression du freinage magnétique lorsque deux pôles en attraction de deux aimants livrés à eux-mêmes s’éloignent simultanément l’un de l’autre) est la grande découverte scientifique qui pourrait débloquer toute la connaissance si on voulait bien la voir.
Expliquer cela de façon littéraire est très difficile et il est normal de ne pas comprendre tout d’emblée. Il n’en reste pas moins que si on veut avancer dans la connaissance, il faut prendre des aimants et voir ce qui se passe lorsqu’on les fait tourner.

Car en 1985 on a démontré que la seule énergie universelle qui pouvait exister est le MAGNETISME, et que lui seul peut véritablement rendre compte de l’existence de la « matière ».

Et on vous invite à venir voir cela. Et à comprendre POURQUOI ils se mettent à tourner. C’est ce que nous proposons depuis des décennies, mais c’est ce que la plupart des physiciens et astrophysiciens refusent car ce serait remettre en cause les fondements de leur enseignement : la « gravitation », force première constituant les atomes selon eux, et conduisant à un univers régi par le hasard (contre toute évidence). Mais en fait « gravitation » est un simple nom donné à une résultante magnétique, faute d’explication convenable, comme « quantum » est un nom donné à une autre résultante magnétique. Il n’existe pas de force de gravitation pas plus qu’il n’existe de quantum ou de « photon ». Il n’existe que du magnétisme, et c’est cela qui permet d’expliquer tous les phénomènes physiques, et que Rodrigo Ibata cherche, et pense qu’il faudra au moins cinq ans pour le comprendre. Il y a besoin de bien moins. Cela peut être immédiat si on veut bien accepter l’idée de changer quelque chose aux dogmes. Mais il faudra bien plus si on refuse, car ne pas reconnaître le magnétisme comme l’énergie unique de l’univers (ce qui est en fait l’esprit comme on l’a expliqué ici précédemment) conduit à toutes les erreurs et finalement à l’incompréhension de l’univers et de la vie. Comme disait Einstein, qui lui aussi croyait à la gravitation d’ailleurs, « il est plus facile de désintégrer un noyau atomique qu’un préjugé ». Cela se vérifie quotidiennement en Physique. Mais pas seulement.

Si vous avez un quelconque contact avec la famille Ibata, dites-leurs qu’ils sont les bienvenus pour discuter de tout cela, et pour qu’ils repartent avec une autre première page dans la revue Nature : « on a compris pourquoi les galaxies ne se déplacent pas de façon aléatoire : elles sont reliées par les lois du magnétisme et non par les supposées lois de la gravitation ». Et avec vingt-cinq Prix Nobel à la clef.

Les détails de ce fonctionnement de l’atome et des galaxies (c’est le même contrairement à ce que croient les physiciens actuels), et aussi de leur formation (puisque c’est bien cela qui est aussi remis en cause par la découverte de Niel), sont depuis 1995 sur internet sur le site http://www.hatem.com/atome.htm, et l’étaient déjà vingt ans plus tôt dans le livre « Et l’Univers Fut » distribué gracieusement à tous les membres de l’Académie des Sciences en 1973, et encore vingt ans plus tôt dans la brochure confidentielle « Naissance et Vie de l’Univers ». Il faut bien que le temps fasse son œuvre. Encore un siècle ou deux et on se demandera bien comment on a pu ignorer une telle chose, tellement simple, tellement belle.
Il faut aimer l’univers pour le comprendre. Et pour aimer l’univers, il faut s’aimer soi-même. Et avoir l’humilité de s’aimer les uns les autres.
Merci Niel, merci Rodrigo.


 


 Publié par le 9 jan, 2013 sur http://lapressegalactique.net

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