Jacqueline Bousquet


Jacqueline BOUSQUET est décédée le vendredi 11 janvier 2013 et a été incinérée selon son souhait le jeudi 17 suivant.
 Elle était l’une des rares scientifiques à oser penser par elle-même et dire haut et fort ce que bien d’autres murmurent tout bas et, à notre époque de « médiocratie », comme le dénonçait si bien Arthur Kœstler, il faut être un héros pour oser penser « autrement » et remettre en question les dogmes qui nous gouvernent.
"La science rejoint enfin la Tradition. Le monde d'espace-temps dans lequel nous vivons au quotidien n'a aucune réalité. Il est une construction mentale que certaines propriétés de notre cerveau rendent réelle tant que nous y croyons, une sorte de rêve-cauchemar dont nous sommes prisonniers et dans lequel nous souffrons. La Physique Quantique nous apporte les éléments de réflexion qui nous permettent de sortir de nos illusions".



Dire par euphémisme que Jacqueline nous a quittés est à la fois véridique et faux. Vrai parce que nous ne la rencontrerons plus sous l’aspect corporel qui nous fut familier ; erroné parce que les émotions et les pensées qu’elle a provoquées ont été, sont et seront toujours présentes en nos consciences.

D’aucuns affirmeront que voici de charmants propos, mais sans aucun rapport direct avec la réalité tangible. Certes ; mais réagir ainsi, n’est-ce pas s’identifier seulement à ce qui se touche, c’est-à-dire à la substance matérielle ? Mais qui – honnêtement – peut nier que les émotions s’éprouvent et que les pensées nous assaillent en permanence ? En réalité, nous sommes beaucoup plus que ce que nous croyons être.


Et c’est précisément à cause des trois facteurs soulignés plus haut que l’odyssée terrestre de Jacqueline nous concerne tous. Docteur ès sciences biologiques, à ses risques et périls, elle consacra son existence à une expérimentation permanente sur elle-même. Du coup, libre à nous de bénéficier ou non des réussites et des échecs qui furent les siens.



Entre autres, elle s’intéressa de près à la radioactivité (le « Feu inextinguible » dans les mythes) et à l’ionisation qui en découle. ICARE des temps modernes, elle n’hésita pas à frôler de près la Source. Laquelle nécessite – chacun le pressent – une transparence analogue à celle du diamant pour ne pas en souffrir. Puisse le sacrifice (au sens d’action sacrée) de Jacqueline ne pas être vain. Tel est le vœu que formule l’équipe d’Arsitra.

l’Équipe d’Arsitra

Jacqueline Bousquet, docteur ès Sciences, biologiste, chercheur honoraire au CNRS, a quitté notre Terre dans la plus grande sérénité le vendredi 11 janvier 2013. Au moment du grand passage, elle s’est sentie enfin « libre, légère, débarrassée de son corps physique, joyeuse » et – selon ses propres termes – « impatiente même de partir au plus vite », ce qui fut fait !


Elle était l’une des rares scientifiques à oser penser par elle-même et dire haut et fort ce que bien d’autres murmurent tout bas et, à notre époque de « médiocratie », comme le dénonçait si bien Arthur Kœstler, il faut être un héros pour oser penser « autrement » et remettre en question les dogmes qui nous gouvernent.


En sa qualité de biologiste, elle avait acquis un savoir qu’elle savait appliquer à ses recherches, mais elle avait un immense avantage sur la plupart de ses collègues : elle possédait également la « connaissance », don rare, ramené d’« ailleurs » lorsqu’elle s’est incarné sur notre Terre. Elle raisonnait beaucoup plus comme une physicienne et avait tiré les conséquences de l’avancée spectaculaire de la physique dans la connaissance du monde. « Les choses sont ce que l’on pense d’elles, aimait-elle à répéter, nous avons toujours le choix. Ou bien nous nous laissons informer par les événements extérieurs, perpétuant ainsi la projection du passé dans l’avenir avec les conséquences évidentes de schémas répétitifs que nous connaissons ; ou alors nous prenons nos distances en reconnaissant que l’autre — quel qu’il soit — n’est jamais qu’un miroir et qu’il nous renvoie à quelque particularité que nous devons corriger en nous. »


Elle a partagé son expérience avec de nombreux chercheurs scientifiques et suscité maintes vocations de jeunes scientifiques, intéressés par les champs informationnels et la notion d’hologramme qui débouche sur une vision holistique du monde. Pour elle, ce qui doit changer, ce n’est pas seulement l’état actuel de la Planète, mais aussi, et surtout, les conditions qui l’ont amenée dans cet état !


Depuis un certain nombre d’années, à partir des travaux du mathématicien Émile Pinel, directeur d’études à l’Université de Paris, elle travaillait sur la relativité en biologie et les champs qui seraient emboités comme des poupées russes et nous déterminent au delà de notre moi, conditionné par notre environnement, notre famille, nos associations, notre pays, l’humanité, c’est-à-dire l’inconscient collectif. Selon elle, ces champs de mémoire sont néguentropiques, c’est-à-dire qu’ils accroissent sans arrêt leur information et, dans le noyau, le temps n’existant pas en tant que tel, il détermine les niveaux d’énergie le long de l’axe de l’ADN. Un être ne peut comprendre, donc concevoir, que ce qui est à son niveau vibratoire ou au-dessous, donc égal à la mesure des capacités de son cerveau.


L’organisme peut être récepteur ou émetteur d’un champ vibratoire informationnel, issu d’un champ unitaire ultime, qui serait constitué de particules tournant en sens inverse. « Ce champ est à notre disposition pour réaliser nos rêves, ou pire, ce que nous redoutons ! »


Jacqueline Bousquet laisse une œuvre importante, des écrits, des conférences, des livres qui vont tous inspirer une nouvelle génération de scientifiques qui pensent comme elle que « la science dite officielle est un outil et, comme tout outil, elle est susceptible de perfectionnement au cours du temps ; en fait, elle évolue en même temps qu’évoluent les récepteurs cérébraux des individus scientifiques ».


Bien qu’elle ait quitté notre univers visible, son nom survivra dans la mémoire des hommes grâce à son œuvre, et parmi tous ceux qui l’ont fréquentée personne ne pourra l’oublier, mais il est probable qu’elle était appelée ailleurs afin de continuer son travail d’éveil de la conscience.

Sylvie Simon

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