L'imposture scientifique du sida ('vidéo)


Dr Étienne De Harven
Pr d'Anatomopathologie

Voir le SIDA autrement :

"Il est humain de se tromper, mais diabolique de persévérer dans l'erreur"

Le sida est un scandale médical totalement emblématique de notre époque, tant par le tapage médiatique dont ce syndrome est l'objet que par les conséquences dramatiques de la mauvaise interprétation des phénomènes de déficience immunitaire. 

Parmi les milliers de chercheurs qui travaillent sans relâche sur ce virus, aucun n'est jamais parvenu à l'isoler "sur un malade !"

 Et pendant ce temps, les autorités continuent de matraquer l'opinion publique avec des statistiques alarmistes. 

Étienne DE HARVEN est docteur en médecine. Il est également membre du Comité consultatif sur le SIDA du Président de la République Sud Africaine. Derrière lui une brillante carrière dans lʼutilisation du Microscopie Electronique pour étudier les rétrovirus depuis les années 50. Son travail, qui fut "anatamo- pathologiste" et "microscopiste électronicien", lʼa amené au Sloan Kettering Institute à New-York et à lʼUniversité de Toronto. 


 Étienne DE HARVEN est l'auteur du livre "Les 10 plus gros mensonges sur le sida".





Autre témoignage par le professeur  Peter H. DUESBERG.


Le livre de Peter DUESBERG est donc enfin disponible en français et c’est une véritable chance pour tous ceux qui veulent comprendre ce qu’est vraiment le sida. DUESBERG est l’un des plus grands microbiologistes de notre époque et il a vécu  toute l’histoire du sida en étant aux première loges…
Comme le dit dans sa préface le prix Nobel Kary MULLIS : « Nous n’avons été en mesure de découvrir aucune raison valable qui poussait la majorité des gens dans ce monde à croire que le sida était provoqué par un virus appelé HIV. Il n’y a absolument aucune preuve qui démontre la vérité de cette assertion. Nous n’avons pas non plus pu découvrir pourquoi les médecins prescrivent un médicament particulièrement toxique appelé AZT à des patients dont le seul symptôme est la présence d’anticorps au HIV dans leur sang. En réalité il n’y a aucune raison compréhensible, pour personne, de prendre ce médicament. On peut admettre que l’erreur est humaine mais l’hypothèse HIV=Sida est vraiment une des plus terribles qui soit. »
La cause des déficiences immunitaires est, pour Peter Duesberg, les « drogues qui sont dans la seringue et pas le virus qui est dessus » ! Il montre, chiffres à l’appui, que, dans les pays pauvres, la malnutrition et la pauvreté sont les causes des déficiences immunitaires. Dans les pays riches, c’est la prise de drogues et de médicaments chimiques qui est la cause principale de l’effondrement immunitaire ... Le sida  n’est donc pas une maladie contagieuse mais une maladie due à l’absorption de produits toxiques, dans les pays développés. Duesberg écrit : « Alors que des centaines de milliers de personnes meurent de fortes consommations de drogue ou de leurs prescriptions d’AZT, les officiels du sida s’acharnent à faire la promotion des préservatifs, des seringues stériles et des tests HIV parmi une population terrifiée. Ceci constitue un désastre médical sans précédent. Par ironie du sort, les séropositifs n’ont en vérité aucune raison d’avoir peur. De même que les séronégatifs, ceux qui s’abstiennent de consommer de la drogue ne mourront jamais du « sida ». Les personnes aux anticorps positifs au HIV peuvent mener des vies absolument normales, tout comme le font à travers le monde  dix-sept à dix-huit millions de séropositifs. »
Duesberg affirme : « Trente cinq milliards de dollars ont été engloutis dans la seule étude du HIV, ne laissant pratiquement aucune possibilité de soutien financier au domaine comparativement minuscule de l’étude de la toxicité des drogues et des médicaments. L’hypothèse drogue-sida prédit avec exactitude tous les aspects du sida aux Etats-Unis et en Europe alors que l’hypothèse HIV n’en prédit aucun. En plus de sauver du sida environ 75.000 vies pour les seuls Etats-Unis, l’hypothèse drogue pourrait épargner une dépense annuelle de 20 milliards de dollars aux contribuables états-uniens. »
Les virologistes officiels tentent de cacher le fait que depuis 1981, aux Etats-Unis, 94% des cas de sida proviennent de groupes à risques ayant fait l’usage de stupéfiants. Si le sida était de nature infectieuse, il aurait du se propager à l’ensemble de la population, ce qui ne s’est jamais produit.
Comme le dit Kary Mullis : « Je ne puis trouver un seul virologue qui puisse me donner les références montrant que le virus HIV serait la cause probable du sida. Si vous demandez à un virologue de vous fournir cette information la seule réponse que vous obtenez est une réaction de fureur… Comment un virus dormant pourrait-il provoquer une maladie mortelle telle que le sida ? Comment un virus, qui ne peut être détecté qu’après une amplification d’un milliard de fois, peut-il être responsable de « réactions biochimiques provoquant la mort ?»
Ou comme le dit Harvey Bialy : «  L’hypothèse HIV  transgresse tout ce qui était précédemment connu en matière de maladie virale et permet n’importe quelle thérapie, n’importe quelle sorte de recherche, pourvu qu’on ramène du fric. Tout cela n’a rien du tout à voir avec la science. Nous avons pris le sexe, l’avons mis en équation avec la mort et, dans ce mélange, nous avons claqué un tas d’argent. Quel hideux ragoût ! »
Duesberg analyse en détail comment le lobby des virologues, avec le soutien de l’industrie pharmaceutique, a pris le contrôle des organismes officiels, des médias, des politiciens et des groupes d’aide aux malades du sida. Il raconte comment ses idées personnelles ont été bloquées de mille manières et comment la communauté scientifique a été manipulée pour faire passer Duesberg pour un dangereux illuminé !
Ce livre se lit comme un vrai roman policier. Il est étayé par un nombre impressionnant d’études scientifiques irréfutables. Il permet de comprendre comment le public a été berné depuis quarante ans par une pseudo science sans véritables fondements.
Il prouve que :
-Le virus HIV n’est pas la cause du sida.
-Le sida n’est pas sexuellement transmissible.
-Les médicaments antiviraux provoquent les maladies symptomatiques du sida.


Comme certaines vidéos disparaissent de youtube, comme celle du Pr JL Montagnier, qui explique à la presse, que l'on peut soigner le sida avec une bonne hygiène de vie et alimentaire afin d'augmenter nos défenses  immunitaires voici une petite synthèse de la vidéo du Dr De Harven.  CR

Il a 40 ans une nouvelle maladie apparaissait : Le sida
Une immense panique en résulta, médiatique, scientifique, des sommes immenses furent allouées aux recherches scientifiques, afin de trouver une solution à cette maladie, vaccins, médicament, etc.

Où en somme nous aujourd'hui ?

Des milliers de médecins, chercheurs, dans le monde entier, parlent de leur synthèses de leur expérience en tant que chercheurs, et de leur constat.
Ce qui semble clair, c'est que les conclusions ont bien évoluées, que la notion de séropositivité n'a rien à voir avec le SIDA, que cette maladie est confondue avec d'autres  déficiences immunitaires, et qu'elle se cantonnerait sur des population qui ont fait usage de drogues, ainsi que sur les homo-sexuels masculins.
 Le drame de la séropositivité, une terreur inutile
Séroposivité = augmentation du Taux d'anti-corps d'un patient, 
pour de nombreuses raisons qui n'ont rien à voir avec le sida  
L'américaine Christine Johnson, 70 conditions médicales qui peuvent indiquer la séroposivité, malaria, herpès, les vaccinations, transfusion multiples, (cas des hémophiles)
 Il y a des cas très clair de sida qui ne sont pas séropositifs
Le test “Western Blot” qui identifie un certain nombres de protéines qui dit-on sont spécifiques du virus.
Personne  depuis 25 ans, dans tous les labos du monde  n'a réussi à isoler et à purifier ce prétendu VIH sur un malade (voir en bas de page*), il donc impossible de pourvoir prétendre que les protéines reconnues dans ce test soient d'origine virale. Au royaume Unis, ce test est interdit et considéré non spécifique, d'autres pays qui le font disent qu'il faut 2 protéines, d'autres 4, donc dans un pays vous pouvez être positif et dans un autre négatif.
 L'AZT est un poison qui a provoqué la mort des patient traités De 87 à 92
La haute toxicité des médicaments utilisés contre le sida, leurs effets secondaire peuvent être confondus par le sida lui-même
Les faux séropositifs : suite d'accidents ou analyse de sang, une séropositivité trouvée par hasard et qui sest traitée en préventifs du sida. La baisse du taux des défenses immunitaires peuvent être provoquée par beaucoup de maladies comme en Afrique, ce qui expliquerai le taux important de séropositivité trouvé sur place et qui n'a rien a voir avec le sida.
Le dépistage du sida en afrique
Ce que l'on appelle en afrique SIDA est un ensemble de la maladie tropicales bien connues depuis 1 siècle , et qui non rien à voir avec le rétro-virus, malaria, tuberculose, hygiène défaillante, tout cela concours en une immono-déficience majeure et par la mort d'un très grand nombre de gens, mais la présence d'un VIH responsable est non-scientifiquement démontré.
Le Sida est il une maladie contagieuse ?
Nous sommes quelques milliers de chercheurs dissident à partager les opinions suivantes :
Non !  Ce que nous appelons les syndrome du Sida n'est pas une maladie contagieuse.
Les raisons historiques sont apparues depuis le tout début. Dans les années 80 lorsque les premiers cas sont apparues aux USA en Californie, tous les malades étaient du sexe masculin, avez vous entendu parlé d'une maladie contagieuse qui choisirait le sexe de ces victimes ? Cela n'existe pas. Aujourd'hui en Europe et en Amérique les malades du SIDA sont en immense majorité de sexe masculin. L'Afrique étant un point à part.
En fait tous ces malades ont été exposés aux mêmes conditions de vie toxiques, drogues aux USA.
Le Dr PADIAN épidimiologiste, à suivie des couples séro discordant l'un séropositif et l'autre séronégatif; ceci pendant des années et n'a pas constatée un seul cas de conversion de séroponégatif en séropositif, d'autre part il n'y aurait peu ou pas de sida parmi les populations des prostituées, et dans le monde entier en occident comme en Asie.
Depuis 30 ans, Il n'y a pas d'épidémie de sida, sauf par quelques groupe identifies comme les homosexuels et les drogués.
Le virus du VIH est fontomatique
* Personne n'a jamais pu démontré au microscope électronique une seule particule de rétro-virus dans le sang d'un malade, même si on choisi ceux qui sont étiquetés comme ayant une charge virale élevé, même le Pr Montagnier, Prix Nobel de médecine "découvreur du VIH sur des "constructions en laboratoire", mais pas sur "un prélèvement sur un soi-disant malade" du sida est en train de changer d'avis, et préconise une bonne hygiène de vie pour lutter contre la maladie du sida.

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