Y-en a marre de l'industrie de la peur


Je viens de lire un article paru sur le figaro.fr, intitulé - Quelle sera la prochaine grande épidémie - où un expert de l'Institut Pasteur et Président (bien évidemmentdu comité de pilotage du réseau mondial d'alerte et d'action en cas d'épidémie, nous met en alerte d'une nouvelle pandémie, de nouveaux virus, en nous rappelant les 50 millions de morts de la grippe espagnole de 1918. (Cela vraiment peur)



Rappelons nous que  l'Institut Pasteur, est une usine à fabriquer et à vendre des vaccins. A quelle nouvelle pandémie veut on nous préparer psychologiquement afin de nous vendre de nouveaux vaccins ?

Le vaccin H1N1 a fait un bide en France, (et la pandémie n'a pas eu lieu, c'est curieux, non ?) ils vont bien trouver autre chose !!!

Dans cet article on vous rappel l'historique de l'évolution de la santé, avec en prime les vaccinations, de toutes les maladies virales du 20 ème siècle, en plus un discours un peu écolo, et le tour est joué, des articles comme cela vous préparent psychologiquement aux futures pandémies et aux formidables travaux de nos chercheurs qui ont trouvés (oh gloire) un vaccin. 

La conclusion de cet article, le nouveau virus pandémique s'appel ARN, il est trèès contagieux et daaangereux, (mais déjà bien connu (?) )

Et le mot de la fin "qui vivra verra"(si avec ça vous restez serein, bravo)

Voila à bon entendeur...Et si vous ne vous faites pas vacciner ont vous culpabilisera en vous accusant de faire progresser l'avancée de la pandémie.

Soyons sérieux :


Pasteur sur ses derniers jours, contredisant ses propres préceptes, avait dit :

" La maladie dépend du terrain et non pas du virus ! "

Phrase historique, oubliée de l'institut Pasteur. Cela veut dire quoi ?

C'est votre système immunitaire qui va faire le boulot et permet "oui-ou-non" au virus de se développer. 
Le vaccin va mobiliser le système immunitaire sur ce virus, et affaiblir les défenses pour les autres virus, et rendre votre organisme plus fragile. 
D'autres part les substances chimiques conservatrices des vaccins sont toxiques et affaiblissent votre système immunitaire.
Plus vous serez vaccinés moins votre système immunitaire sera efficace, et plus vous serez sensibles à tous les virus qui passent. Pour peu que vous soyez faible, même vacciné vous serez malade. De nombreuses études prouvent cela. 

Quand aux effets toxiques associés (l'aluminium+mercure) les fabricants n'en parlent pas... L'autisme explose aux USA depuis que les bébés reçoivent 24 vaccins ! 

"Aux USA :
- en 1988. 1 enfant sur 2500 était autiste
- en 2011. 1 enfant sur 166 est autiste et 1 sur 6 à des difficultés neurologiques

- en 1989 les vaccins sur les bébés sont passés de 10 à 24, soit des doses de mercure 400 fois supérieures aux normes, il faudrait que nos bébé pèsent 130 kg pour absorber de telles injections, le Thimérosol et  le mercure sont responsables de l'autisme nos enfants."
 (article R.F.Kennedy)

« Le microbe n’est rien, le terrain est tout », assurait Claude Bernard Bernard (1813-1878), à l’origine de la notion de « milieu intérieur », dans la tradition des humeurs d’Hippocrate. Il était le contemporain et grand rival de Pasteur (1822-1895).


Pasteur est à l’origine du concept de contagion et de la théorie des affections exogènes, c’est-à-dire liées à la présence dans l’air de germes pathogènes. Tout différencie les deux médecins dont les conceptions ont donné deux orientations radicalement différentes à la médecine. Bernard est suivi par tout le courant naturopathique, Pasteur par la médecine conventionnelle actuelle (allopathie).

De même que chacun a pu constater, dans son jardin,
que la mousse pousse en terrain humide et ombragé ou qu’un lichen
affectionne telle essence d’arbre ou telle pierre,
de même notre corps n’abrite certains virus, bactéries ou champignons
que si les conditions sont réunies

C’est pourquoi, en dehors de certaines pathologies purement environnementales comme celle liée à l’amiante, certains attrapent la grippe alors que d’autres traversent l’épidémie sans faiblir. On est finalement contagieux que pour les gens qui présentent le même « terrain ».

La médecine actuelle se situe encore aux antipodes de ce concept médical. Elle a opté pour la théorie de Pasteur selon lequel la cause de la maladie est externe, c’est-à-dire liée à l’effraction d’un virus ou autre dans l’organisme. Peu importe l’alimentation du patient, son état psychologique.

Ce dogme (aujourd’hui remis en question par des médecins de plus en plus nombreux), a naturellement conduit à l’essor de la vaccination, considérée comme le seul rempart efficace contre une agression extérieure. L’exemple du H1N1 nous en fournit un bel exemple…

Le but de cet article n'est pas de discréditer l'Institut Pasteur et les équipes d'épidémiologistes qui y travaillent en toute sincérité, convaincus de rendre service à l'humanité. Cependant la France est victime du succès de ses nobles scientifiques, dont Pasteur, Béchamp, Jousset. 
Pasteur fut le seul à défendre la principe de la vaccination avec le succès que l'on connaît. 

Succès français, car en Allemagne la vaccination n'est pas obligatoire, et les allemands ne sont pas plus malades que nous ! 

Mieux, une étude allemande, et une autre en Suisse, démontrent que les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que ceux qui ont reçus des vaccins (lien)

La vaccination est devenue une énorme industrie mondiale qui fait la fortune des laboratoires et des Instituts de recherche comme Pasteur.

Tout comme les antibiotiques qui ont été imposés depuis des décennies, et qui ne sont plus automatiques, la vaccination deviendra un jour obsolète, faudra t-il attendre combien de temps encore ?

Et puis l'Institut Pasteur recherche un vaccin contre le cancer. Le cancer n'est ni un virus ou un microbe, mais une maladie auto-immune liée au dérèglement du système immunitaire, de qui se moque t-on ? 
C'est vrais que le cancer est un manne financière assez considérable... (site de l'Institut Pasteur, on vous propose même de faire un don)


Comment renforcer et protéger 

son système immunitaire :




Hygiène de vie - Alimentation saine - 

Vivre en conscience, entre autres.

Le plus simple

consultez un Naturopathe près de chez vous.


Le naturopathe ne combat pas la maladie
mais va chercher à rétablir le terrain,
à redonner au corps ses moyens d’action naturels,
en favorisant l’élimination de la « toxémie »,
cette accumulation de déchets
qui gênent le fonctionnement de l’organisme.

Lire l'article sur le figaro.fr quelle sera la prochaine grande pandémie ?
(lisez les commentaires, c'est édifiant)
Tout savoir sur l'abus de la vaccination le blog de Sylvie Simon-Conscience santé désinformation et mensonges
Lire aussi Les microbes sont nos amis
Lire aussi la rubrique Santé et Vaccins de ce blog
Lire aussi sur wikipédia Pasteur-Béchamp le désaccord


Que la vie vous soit belle. 
CR.



Vaccins, virus et microbes 
selon Jacqueline Bousquet, Dr ès-sciences biologie-biophysique, chercheur honoraire au CNRS

Les expériences irréfutables de Béchamp, Tissot et d’autres ont montré que l’approche de Pasteur concernant les microbes était fausse, lui-même l’ayant reconnu sur son lit de mort !

Comment expliquer l’absence de critiques depuis cent ans ?

La communauté scientifique, une fois de plus, s’est satisfaite de vues à court terme : la disparition du microbe ou du virus et l’apparente éradication de la maladie.

Si l’on peut faire apparaître tel microbe ou tel virus en fonction de la composition du milieu de culture, il faut bien admettre qu’il était déjà présent dans les cellules et que seule la nature du terrain lui permettait ou non de se manifester. Louis Pasteur l’avait d’ailleurs lui-même prouvé dans une communication à l’Académie des sciences. Il a démontré le rôle du stress sur le résultat de l’inoculation du bacille du charbon en présentant deux poules inoculées. Seule est morte celle qui avait été soumise à une exposition au froid avant l’injection.

Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour avoir accès à ces informations ? Pourquoi le point de vue d’un savant comme Antoine Béchamp n’est-il pas enseigné dans les facultés ? Cela permettrait à des chercheurs de vérifier la véracité de ses travaux. Ainsi le scandale des vaccinations – erreur médicale s’il en est – ne serait pas perpétué. Or il se poursuit à cause d’un matraquage médiatique, de manipulations et de publicité abusive, afin de préserver les énormes intérêts financiers liés aux vaccinations massives. Ces dernières contribuent au déficit majeur de la Sécurité sociale.

Aujourd’hui, il est temps de mettre un terme à ces mensonges. La nouvelle médecine, celle de l’information, nous permet une approche de la maladie totalement différente. Elle nous fait considérer les vaccinations comme l’une des plus grandes erreurs de notre temps, le vestige médiéval d’une approche anti-scientifique, qui refuse de prendre en compte le “terrain”. Et pourtant, que n’a-t-on rabâché : “Le microbe n’est rien, le terrain est tout !”

Le terrain est caractérisé, parmi d’autres spécificités, par le taux vibratoire de nos cellules et de nos organes. La physique nous apprend  qu’à une vibration correspond toujours une forme, et vice versa. C’est ainsi qu’un terrain affaibli laisse émerger des constituants qui, normalement, ne se manifestent pas. Les prétendus “agresseurs” : microbes, virus et autres prions ne sont rien d’autre que des constituants cellulaires. Ce sont donc des produits endogènes et non des “agresseurs venus d’ailleurs”. Il est alors aberrant de vouloir immuniser un organisme contre ses propres constituants ! En procédant ainsi, on change la nature du terrain, donc la vibration, et le virus ou microbe ne se manifeste plus.

La conséquence en est qu’une autre pathologie aura des chances de faire son apparition ; personne, ou presque, ne songera à la relier à cet acte barbare et contre nature qui consiste à introduire dans l’organisme :
• Une infâme mixture à base de cellules immortelles (cancéreuses), de sérum de veau fœtal (vive les prions).
  • Le fameux adjuvant de Freund, puissant oxydant sans lequel il n’y aurait pas “d’immunisation”, et pour cause !

On prétend éradiquer des maladies alors que l’on en fait émerger de nouvelles, celles-ci pires encore, en refusant – par méconnaissance des mécanismes du vivant – de reconnaître les conséquences néfastes du déplacement du terrain.

Dès lors, comment s’étonner de la montée en flèche des maladies nosocomiales (contractées dans les hôpitaux) ? A l’ère de l’asepsie, recherchée à grands frais dans ces établissements, le combat est perdu d’avance, comme tous ceux de la médecine issue de l’expérimentation animale, d’ailleurs, puisque c’est seulement le taux vibratoire cellulaire qui permet – ou non – l’émergence des fameux “agresseurs”.

L’état de délabrement de certains malades, ajouté à l’agression des traitements médicaux, permet de comprendre le surgissement de ces pathologies. et ce ne sont pas les techniques de stérilisation de plus en plus sophistiquées, coûteuses et agressives, qui permettront d’enrayer ce fléau.

Où trouve-t-on des bacilles chez les individus sains ? Partout où des cellules meurent, libérant leurs constituants, sur la peau, dans les cavités naturelles, un maximum se retrouvant dans l’intestin, car il est le lieu d’aboutissement d’un processus de destruction du bol alimentaire. Évidemment, ces bacilles ne sont pas pathogènes. Ils ne sont que les témoins d’un processus vital nommé catabolisme. Partout où des cellules meurent – lors d’une injection par exemple – elles libèrent ces fameux “agresseurs” que certains s’obstinent à rendre responsables des maladies, alors qu’ils n’en sont que les témoins.

Il est nécessaire que le public ait une approche rigoureuse des données du problème afin d’autoriser ceux qui voudront se donner la peine de réfléchir à réclamer la juste liberté d’un choix pour eux-mêmes pour ne pas subir des agressions obligatoires, soutenues et perpétuées par l’inqualifiable comportement des “experts” dont l’information archaïque signe l’inadaptation à l’évolution des sciences.

La motivation n’est plus, loin s’en faut, la santé des peuples, mais la rentabilité et la fortune des laboratoires pharmaceutiques.

La vaccination reste l’un des plus grands scandales à venir, source de nombreux procès qui devraient permettre aux victimes la reconnaissance de leurs souffrances, causées par ceux qui avaient pour mission de les protéger et parmi lesquels, nous l’espérons, il n’y aura plus de “responsables mais pas coupables” !

Jacqueline BOUSQUET
27.10.2009
Jacqueline Bousquet, Dr ès-sciences biologie-biophysique, chercheur honoraire au CNRS, est l’auteur avec Sylvie Simon du Réveil de la conscience.


17 exemples d’échecs vaccinaux reconnus
Regardons s’il vous plaît les choses en face.

En tant que parents, nous sommes inondés de messages contradictoires au sujet des vaccins.

D’une part, les médecins et les médias traditionnels nous disent que les vaccins sont sûrs et efficaces. D’autre part, vous avez des parents comme moi qui disent que les vaccins ont endommagé la santé de leurs enfants ou, comme c’est aussi le cas, que les vaccins ne « fonctionnent pas » comme annoncé.

Ce que les gens ne savent pas bien c’est la fréquence à laquelle les vaccins échouent. Combien de personnes se demandent pourquoi les échecs vaccinaux ne font pas la Une des journaux ?

Une bonne partie de la réponse, c’est que de grosses sommes d’argent sont en jeu.

Avant de vous parler des 17 échecs vaccinaux, je voudrais vous inviter à regarder le graphique ci-dessous. Aux Etats-Unis, les enfants reçoivent 36 vaccins avant l’âge de 6 ans.

Graphique-enfants-avant-6-ans.PNG

Les Etats-Unis ont le calendrier de vaccinations le plus agressif au monde.

Quand les vaccins échouent, la solution proposée est souvent la même : on proposeencore plus de vaccins, même si l’enfant a déjà reçu plusieurs doses censées le « protéger » !

Comme promis, voici donc des exemples  de parents confiants qui croyaient pouvoir protéger leurs enfants. On leur avait cependant injecté des vaccins toxiques et inefficaces.

Echec vaccinal # 1 – Epidémie d’oreillons dans les communautés juives orthodoxes aux Etats-Unis (2010)

Une épidémie importante d’oreillons s’est produite dans des communautés juives Orthodoxes parfaitement vaccinées en 2009 et 2010.

Parmi les adolescents vaccinés,
  • 89% avaient déjà reçu deux doses du vaccin contre les oreillons ;
  • 8% avaient reçu une dose.
97% de ceux qui furent infectés avaient reçu le vaccin. [1]

Echec Vaccinal  #  2  - Epidémie d’oreillons dans l’Iowa (2006)

En mars 2006, 219 cas d’oreillons furent signalés dans l’Iowa (2006) – soit la plus importante épidémie d’oreillons aux Etats-Unis depuis 1988.
L’âge moyen des 219 cas signalés était de 21 ans. Les 133 patients qui ont fait l’objet d’une étude avaient été vaccinés.

  • 87 (65%) avaient reçu 2 doses ;
  • 19 (14%) avaient reçu une dose ;
  • 8 (6%) n’avaient reçu aucune dose ;
  • 19 (14%) : statut vaccinal non précisé.
79% de ceux qui furent infectés avaient reçu au moins un vaccin.[2]

Echec Vaccinal  # 3 -  Epidémie d’oreillons dans un camp d’été à New York (2005)

Le 26 juillet 2005, le New York State Department of Health a identifié 31 cas d’oreillons vraisemblablement introduits par un conseiller du camp qui provenait du Royaume Uni. Dans l’ensemble du camp, la couverture vaccinale était de 96%. 31 participants furent infectés.

  • 16 (52%) participants avaient reçu 2 doses ;
  • 4 (13%) avaient reçu une dose ;
  • 9 (29%) n’avaient reçu aucune dose ;
  • 2 (6%) statut vaccinal non connu.
 20    personnes sur les 31 participants infectés (65%) avaient été vaccinées.

La couverture vaccinale pour l’ensemble du camp : 96% [3]

Echec vaccinal # 4 -  Epidémie d’oreillons dans une population fortement vaccinée (1989)

D’octobre 1988 à avril 1989, une épidémie d’oreillons se déclara dans le comté de Douglas au Kansas. On releva 269 cas d’oreillons. Parmi eux, 208 (77,3%) faisaient partie des écoles primaire et secondaire. 203 élèves (97,6%) avaient été vaccinés contre les oreillons. [4]

Echec vaccinal  # 5  -  Deux médecins complètement vaccinés contre la rougeole attrapent la rougeole (2009)

Au cours d’une épidémie de rougeole en 2009, deux médecins furent infectés par le virus de la rougeole alors qu’ils avaient tous deux été complètement vaccinés : ils avaient reçu deux doses du vaccin ROR (Rougeole Oreillons Rubéole). On a soupçonné que ces deux médecins furent infectés alors qu’ils soignaient des patients atteints de la rougeole. [5]

Echec vaccinal #  6  -  Importante épidémie de rougeole au Québec en dépit d’une couverture vaccinale de 99% (1989)

L’épidémie de rougeole de 1989 dans la province du Québec a infecté 1363 personnes. On a tenté d’expliquer cette épidémie en évoquant une « couverture vaccinale incomplète ».
Une enquête ultérieure détermina qu’au moins 84,5% des personnes avaient été vaccinées. Pour l’ensemble de la population, la couverture vaccinale était de 99%. [6]

Echec vaccinal #  7 -   Epidémie de rougeole en dépit des mesures de contrôle appropriées. (1985)

En 1985, sur les 118 cas de rougeole qui se déclarèrent dans une réserve du Montana (Blackfeet), 82% des personnes avaient été vaccinées ; Vingt-trois de ces cas sont survenus dans les écoles de Browning où 98,7% des élèves avaient été vaccinés. [7]

Echec vaccinal # 8 -  Epidémie de rougeole dans une école secondairecomplètement vaccinée (1985)

En 1985, une épidémie de rougeole s’est déclarée dans une école secondaire de Corpus Christi au Texas. Plus de 99% des élèves avaient été vaccinés avec le virus vivant. Les enquêteurs ont conclu : « que des épidémies de rougeole peuvent se produire dans des écoles secondaires, même si plus de 99% des élèves ont été vaccinés et que plus de 95% sont immunisés. »

La couverture vaccinale pour cette école était de 99%  [8]

Echec Vaccinal  # 9 -  Rougeole dans une population scolaire vaccinée au Nouveau Mexique (1984)

L’histoire ne cesse de se répéter.

En 1984, 76 cas de rougeole ont été signalés à Hobbs, Nouveau-Mexique. 47 cas (62%) se sont produits chez des étudiants. L’école en question a signalé que 98% des élèves avaient été vaccinés contre la rougeole avant que l’épidémie ne se déclare.
Pour cette école, la couverture vaccinale était de 98%. [9]

Echec Vaccinal # 10 -  Epidémie de rougeole parmi les élèves vaccinés d’une école secondaire de l’Illinois ; (1984)

En 1984, 21 cas de rougeole se sont déclarés dans le comté de Sangamon (Illinois).

  • 16 (76%) avaient été vaccinés ;
  • 4 (19%) d’âge préscolaire n’étaient pas vaccinés.
  • 1 (5%) était un étudiant vacciné (college student)
Les 411 élèves de l’école secondaire locale avaient été vaccinés le jour de leur premier anniversaire ou peu de temps après. Les enquêteurs ont signalé : « Cette épidémie démontre que la transmission de la rougeole peut se produire dans une population scolaire avec un taux de vaccination atteignant les 100%. » [10]

Echec vaccinal # 11 – Analyse d’une épidémie de rougeole. – Rôle possible des échecs vaccinaux (1975)

En 1975, une épidémie de rougeole s’est produite dans les écoles de Greensville, Ontario. Parmi les 47 cas de rougeole,

  • 26 (55,3%) avaient été vaccinés ;
  • 18 (18,3%) n’avaient pas été vaccinés ;
  • 3 (6,4%) statut vaccinal inconnu.
Les enquêteurs ont conclu qu’un seul vaccin ne suffisait pas pour protéger les enfants. Ils ont recommandé des injections supplémentaires.

Cas de rougeole chez les enfants vaccinés : 53,3% [11]

Echec vaccinal # 12 – Durée inattendue de l’immunité après une vaccination contre la coqueluche (vaccin acellulaire) chez des pré-adolescents au cours d’une épidémie en Amérique du Nord. ( 2012)

En 2012, les médecins du « Kaiser Permanente Medical Center » identifièrent 171 cas de coqueluche – 132 cas furent dépistés chez des enfants. Ils constatèrent une augmentation des cas chez des enfants âgés de 8 à 12 ans.
A propos de l’efficacité de la vaccination, ils prétendirent ce qui suit :

  • Enfants de 2 à 7 ans : 41% d’efficacité ( ?!?)
  • Enfants de 8 à 12 ans : 24% d’efficacité ( ?!?)
  • Adolescents de 13 à 18 ans : 79% d’efficacité. 
Ces médecins ont émis l’hypothèse que ces enfants avaient besoin de davantage de vaccins pour être « efficacement protégés ».

Efficacité du vaccin pour les enfants de 8 à 12 ans : 24% [12]

Echec vaccinal # 13 – Aspects cliniques de la coqueluche chez des enfants complètement vaccinés en Lituanie (2001)

En 2001, la couverture vaccinale du pays était estimée à 94,6%. De mai à décembre de cette même année, la confirmation sérologique de la coqueluche fut établie chez 53 enfants. Parmi ces 53 enfants,

  • 32 (60,4%) avaient été complètement vaccinés,
  • 21 (39,6%) avaient été partiellement vaccinés ou pas vaccinés du tout.
Les enquêteurs ont d’une manière commode regroupé les enfants partiellement vaccinés et les enfants non vaccinés. 28 enfants parmi les 32 (87,5%) qui avaient été complètement vaccinés avaient aussi reçu des antibiotiques.

Les enfants vaccinés (qui avaient reçu au moins trois doses du vaccin DTC) représentaient 43,2% de tous les cas de coqueluche diagnostiqués en 2001.

La couverture vaccinale pour la Lituanie : 94,6%. [13]

Echec vaccinal # 14 – Infection coquelucheuse chez des enfants complètement vaccinés dans les garderies (2000)

De nombreux professionnels de santé sont catégoriques. Ils prétendent que les vaccins protègent des infections.
Les résultats d’une enquête de terrain en Israël ne confirment nullement cette croyance.

En 2000, un enfant qui est décédé a été suspecté d’avoir fait une coqueluche. Le bébé a reçu sa première dose de DTC à deux mois – tous les membres de sa famille étaient complètement vaccinés ; ils avaient tous reçu 4 doses du vaccin DTC.

On étudia de plus près le cas de deux jumeaux qui avaient été soignés dans le même Centre que l’enfant. Tous les enfants qui fréquentaient ce Centre avaient été vaccinés  dans l’enfance avec quatre doses du DTC  et avaient reçu une dose de rappel à 12 mois .

Cinq enfants complètement vaccinés ont été infectés par le Bordetella Pertussis (Coqueluche).

En conclusion les enquêteurs ont voulu souligner ce qui suit :

Les adolescents et les adultes vaccinés peuvent servir de réservoirs d’infection silencieuse et peuvent potentiellement contaminer des nourrissons non protégés. Le vaccin à germes entiers contre la coqueluche protège seulement contre la maladie clinique, et non pas contre l’infection. Par conséquent, même les jeunes enfants récemment vaccinés peuvent servir de réservoirs et de transmetteurs potentiels d’infection. »

Les enquêteurs ont insisté : « Nos résultats indiquent que les enfants de 5 à 6 ans et peut-être aussi les plus jeunes de 2 à 3 ans « jouent le rôle »  de réservoirs silencieux dans la transmission de la coqueluche dans la communauté. »

Couverture vaccinale dans ce centre (garderie) : 100% [14]

Echec vaccinal # 15 – Epidémie de coqueluche au Vermont (1996)

En 1996, on releva 280 cas de coqueluche au Vermont.

  • 12 (4%) avaient moins d’un an ;
  • 32 (11%) étaient âgés de 1 à 4 ans ;
  • 42 (15%) étaient âgés de 5 à 9 ans
  • 129 (46%) étaient âgés de 10 à 19 ans
  • 65 (23%) avaient 20 ans ou plus.
Sur un total de 215 enfants (dont le statut vaccinal était connu) combien avaient été vaccinés ?

  • 5 enfants de 7 à 47 mois étaient partiellement vaccinés ;
  • 14 enfants de 7 à 47 mois avaient reçu 3 doses du vaccin ;
  • 49 jeunes de 7 à 18 ans étaient partiellement vaccinés ;
  • 106 jeunes de 7 à 18 ans étaient complètement vaccinés.
Fait troublant : 174 enfants ont été vaccinés et plus de la moitié (61%) des enfants de l’école ont été considérés comme étant « complètement vaccinés » !

Il est important de garder à l’esprit que dans le Vermont en 1996, 97% des enfants de 19 à 35 mois avaient reçu trois ou davantage de doses du vaccin DTC ou DT.

Echec complet chez les enfants vaccinés : au moins 80,9% [15]

Echec vaccinal # 16 – Epidémie de varicelle dans une garderie  en dépit de la vaccination (2012)

Il arrive qu’au lieu de reconnaître qu’un vaccin a été un échec complet, on utilise des termes comme « percée de varicelle » pour parler des enfants qui sont tombés malades alors qu’ils avaient bel et bien été vaccinés.

En décembre 2012, une épidémie s’est produite dans une garderie privée près de Concord dans le New Hampshire. Au total, on enregistra 25 cas de varicelle chez les enfants.

  • 17 (68%) avaient été vaccinés ;
  • 8 (32%) n’étaient pas vaccinés – deux de ces enfants furent vaccinés fin décembre et classés dans le groupe des « non vaccinés ».
Les enquêteurs ont déploré le fait que l’efficacité du vaccin n’était que de 44%. Ils précisèrent :

« Les raisons du manque d’efficacité du vaccin ne sont pas évidentes… Les conclusions de cette enquête font craindre que la stratégie de vaccination en cours pourrait ne pas protéger les enfants de manière adéquate. »

La couverture vaccinale était de 73,1% [16]

Echec vaccinal # 17 -  Epidémie de varicelle chez des enfants de l’école primaire ayant reçu deux doses du vaccin contre la varicelle (2006)

Auriez-vous déjà remarqué  que quand un vaccin n’est pas efficace, la réponse est presque toujours : il faut plus de vaccins ?...

En juin 2006, on recommanda une seconde dose du vaccin contre la varicelle pour pouvoir entrer à l’école. Peu de temps après la reprise des cours, le Département de la Santé de l’Arkansas signala une épidémie de varicelle chez les élèves.

L’information sur la vaccination fut disponible pour 871 (99%) des 880 élèves.- 97% des élèves avaient été vaccinés pour la varicelle ! Au cours de cette épidémie, 84 cas furent signalés.

La couverture vaccinale était de 97%. [17]

Conclusion

Comme on peut le voir à partir des exemples qui précèdent, la vaccination est souvent inefficace. Il existe de nombreux autres exemples que nous ne pouvons aborder dans cet article.

Si vous souhaitez approfondir la question, voici une petite astuce. Sur Google.com, faites une recherche au moyen des mots clés suivants : « préalablement vaccinés pour X »  ou « épidémie à l’école X »…

En tant que parents vous faites confiance au médecin et vous attendez de lui qu’il vous fournisse des informations précises et exactes. Mais quand les médecins vous disent que les vaccins fonctionnent, qu’ils sont efficaces, de qui tiennent-ils leur information ?

Plus important encore, pourquoi les échecs vaccinaux ne sont-ils pas rapportés dans les médias traditionnels ? La réponse la plus plausible est que les organisations qui doivent le plus se protéger de la vérité sur ces questions sont membres de Big Pharma – Je ne pense pas que l’on ait déjà inventé un vaccin pour assurer cette protection.

Références
Source: Vactruth

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