Dommages irréparables dus aux vaccins: une nouvelle étude polonaise



   
Les auteurs de cette nouvelle étude écrivent : « Il n’est pas raisonnable de penser que la manipulation du système immunitaire par une nombre croissant de vaccinations durant les périodes critiques du développement cérébral ne va pas entraîner des effets neurologiques indésirables. » Voici ce qu’ils ont découvert. 

  
Par Heidi Stevenson 
  
Une nouvelle étude scientifique polonaise aborde la question des dommages irréparables causés par les vaccins. Elle présente la question en termes d’effets indésirables, d’effets sur le système immunitaire et de symptômes neurologiques après vaccination. En évoquant l’histoire des vaccins, l’étude montre que ceux-ci ont présenté peu d’avantages. L’étude qui fournit une nouvelle information de vaste portée, se base en grande partie sur des recherches qui ne sont pas souvent référencées dans le monde occidental. Une lecture honnête de cette étude laisse peu de doute par rapport aux dommages qui peuvent être considérables et souvent définitifs. 
  
Effets secondaires 
  
Il existe différents systèmes permettant de définir les types d’effets secondaires indésirables des vaccinations. On fait la différence entre les réactions qui dépendent directement ou non du  système immunitaire. On classe les réactions selon qu’elles sont locales, générales, proches ou plus éloignées dans le temps. 
  
Quel que soit leur classement, les auteurs de l’étude affirment : 
  
« Les rapports de nombreuses revues médicales polonaises et étrangères nous amènent à conclure que les complications post-vaccinales chez les enfants peuvent être observées dans des cas sporadiques et qu’elles sont disproportionnées par rapport aux avantages de la vaccination dans l’élimination des dangereuses maladies de l’enfance. » 
  
L’étude laisse peu de place au doute que les vaccins soient susceptibles de produire des risques graves qui soient totalement  disproportionnés par rapport à quelque bénéfice que ce soit. 
  
Les auteurs ont d’abord fait remarquer que plusieurs effets secondaires indésirables surviennent peu de temps après la vaccination et sont reconnus par la loi polonaise. Ces effets indésirables comprennent : 
  
Des réactions locales : 
  
  • Réactions locales après le vaccin BCG (tuberculose)
  • Gonflements
  • Lymphadénopathie
  • Abcès au point d’injection
  
Effets secondaires indésirables sur le système nerveux central : 
  
  • Encéphalopathie
  • Convulsions fébriles
  • Convulsions non-fébriles
  • Poliomyélite paralytique causée par le virus du vaccin
  • Encéphalite
  • Méningite
  • Syndrome de Guillain-Barré
  
Autres effets indésirables après vaccination : 
  
  • Douleurs articulaires
  • Episodes d’hypotonie-hyporéactivité
  • Fièvre supérieure à 39°
  • Thrombocytopénie
  • Pleurs inconsolables continues.
  
Il est probable que les complications neurologiques post-vaccinales aient tendance à être des lésions nerveuses permanentes du système nerveux central, y compris les convulsions (tout spécialement s’il y a une élévation de la température), les épisodes d’hypotonie-hypo-réactivité, les encéphalites post-vaccinales, les encéphalopathies post-vaccinales et l’autisme. 
  
Effets sur le système immunitaire 
  
Le système immunitaire d’un nouveau-né ne fonctionne pas de la même manière que celui d’un adulte et n’atteint pas sa maturité avant l’âge de 3 ans. Le système immunitaire humoral du nouveau-né – qui fonctionne avec les anticorps – provient directement de la mère et est associé à l’immunoglobuline IgG fourni par la mère. Ce système débute environ 6 mois avant la naissance et disparaît environ 6 mois après la naissance. 
  
Graphique-systeme-immunitaire.jpg 
  
Les anticorps autonomes sont appelés immunoglobulines. Alors que le fœtus commence à développer un certain nombre d’immunoglobulines avant la naissance, il faut du temps, dans la plupart des cas plus d’un an, pour atteindre la maturité. Le graphique montre la vitesse à laquelle  les IgG de la mère augmentent et finissent par diminuer. Il montre également la vitesse à laquelle un nouveau-né commence à produire ses propres IgM, IgA et IgD. 
  
Etant donné que le nouveau-né possède toujours des anticorps de la mère, la vaccination contre certains microorganismes ne peut fournir une protection durable. Les auteurs précisent : 
  
« Il est bien établi que dans les premiers temps de la vie, les réponses immunitaires sont plus faibles et de plus courte durée que celles qui sont produites chez des hôtes immunologiquement matures. En conséquence l’efficacité de la vaccination dans la prime enfance (particulièrement au cours des 6 premiers mois) est limitée. » 
  
Les auteurs poursuivent : 
  
« Des preuves expérimentales montrent clairement que l’administration simultanée de deux à trois adjuvants, ou la stimulation répétée du système immunitaire par le même antigène peut vaincre la résistance génétique à l’auto-immunité. » 
  
La pratique courante qui consiste à administrer plus d’un adjuvant à la fois ou à injecter le même antigène à plusieurs reprises est susceptible de provoquer des dommages auto-immuns. 
  
Les auteurs soulignent en outre que la toxicité des adjuvants  peut produire une gamme de réactions indésirables. 
  
On ne comprend pas bien la manière dont le corps réagit aux vaccins. On croit cependant que la voie Th1 est sacrifiée au profit de la voie Th2. Ceci est censé mener à l’apparition d’allergies chez les nouveau-nés. Les allergies (qui peuvent parfois être mortelles) étaient jadis particulièrement rares. Aujourd’hui, on retrouve des allergies chez au moins 35% et peut-être même jusqu’à 40% des enfants. Cette situation est devenue l’un des problèmes les plus graves de santé en Europe. 
  
Les auteurs citent une étude démontrant qu’une infection de la varicelle naturelle protège contre l’asthme et la dermatite atopique chez les enfants, alors que ce n’est pas le cas pour le vaccin. 
  
Les auteurs précisent : 
  
« Il a été démontré que la vaccination annuelle contre la grippe empêchait le développement de l’immunité des lymphocytes T spécifiques du virus CD8+  chez les enfants. » 
  
Les auteurs précisent : 
  
« Il semble que le nécessaire équilibre Th1/Th2 soit plus facilement réalisé grâce aux défis naturels (c'est-à-dire par les maladies d’enfance relativement bénignes comme la varicelle et les oreillons) plutôt que par la vaccination. 
  
Des recherches récentes menées par Singh de l’Institut International de Recherches sur le Cerveau aux Etats-Unis confirment l’authenticité de cette déclaration. […] » 
  
Conclusion partielle 
  
A ce stade de leur examen, les auteurs soulignent que les vaccins qui sont utilisés pour « former » le système immunitaire, réduisent en fait le seuil de réactions de défense contre le développement de maladies infectieuses. Ceci conduit aux questions suivantes : 
  
  • Comment les systèmes immunitaire et nerveux en développement d’un enfant en bonne santé peuvent-ils répondre à une stimulation aussi intense ?
  • Ces systèmes immatures peuvent-ils assurer le même effet protecteur par rapport à autant de stimuli différents ?
  • Les effets secondaires des vaccins comprenant plusieurs antigènes sont-ils différents des effets secondaires des vaccins ne comprenant qu’un seul antigène ? Si c’est le cas, comment expliquer la chose ? […]
  
«  Il n’est pas raisonnable de supposer que la manipulation du système immunitaire au moyen d’un nombre croissant de vaccinations pendant les périodes critiques du développement cérébral ne finira pas par engendrer des effets indésirables sur le développement neurologique (de l’enfant). » 
  
Les auteurs de l’étude montrent clairement que les vaccins comportent le risque de faire un tort immense. 
  
Cet article a trait aux deux premières parties de l’importante étude de Sienkiewicz, Kulak, Okurowska-Zawada et Paszko-Patej. Le prochain article portera sur les symptômes neurologiques consécutifs aux vaccinations comme sur l’histoire même des vaccinations et leurs faibles bénéfices. 
  
Etude originale: Neurologic adverse events following vaccination ; Progress in Health Sciences, 2012, Vol.2, n°1, Sienkiewicz D., Kulak W., Okurowska-Zawada B., Paszko-Patej G. 
  
Source: Gaia Health

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