Anton Parks : L'humanité est une création extraterrestre





Introduction du dossier par le journaliste Karmaone de la revue Nexus:

C’est une bonne nouvelle, une avant première et en même temps, une jolie exclusivité : Anton Parks, l'auteur des Chroniques du Girku nous accorde une interview.
Pour ceux qui ne connaissent pas le travail d’Anton Parks, sachez qu'il éclaire d'une manière totalement inédite l’histoire de l’humanité antédiluvienne et développe et développe une thèse partagée par un nombre croissant d'auteurs : nous sommes le fruits d'interactions complexes avec des entités extraterrestres que nous avons longtemps prises pour des "Dieu".
Loin des paradigmes du darwinisme et du créationnisme, Parks propose une exogenèse de l'humanité fondée sur le décryptage des grands mythes fondateurs, mais aussi des textes sumériens et bibliques. Un voyage fascinant aux confins de nos origines. 

 


Pour expliquer le monde et les sociétés dans lesquelles nous vivons, nous avons recours à deux types de réponses : les unes émanent de la Science et des sciences humaines, les autres des mythes et des légendes sur la création du monde, et en ce qui nous concerne, les textes bibliques. Malheureusement, à l’usage, nous sommes contraints de reconnaître, pour de multiple raisons que les réponses aux questions fondamentales que nous nous posons provenant tant des champs des sciences exactes, des sciences humaines, des mythes et textes religieux sont largement insatisfaisantes.
La théorie de l’évolution des espèces de Darwin prise stricto sensu est incapable de répondre à des points fondamentaux concernant l’émergence brutale de l’intelligence, de certaines espèces animales et végétales ainsi qu’un paquet d’anomalies temporelles, à savoir des artefacts ; des objets et des créatures que l’on retrouve dans des périodes de l’histoire de la terre infiniment trop anciennes et qui ne sont pas supposés s’y retrouver.
Les récits bibliques imposent tout et n’expliquent rien. Ils ne font que nous informer sur l’existence d’un lien de soumission éternel et indéfectible entre un créateur, « Dieu » et ses créatures, les hommes, tous coupables d’une faute assez obscure concernant le fruit d’un arbre que les humains n’ont même pas volés mais ont eu la curiosité de manger parce qu’une vilaine créature reptilienne le leur proposait.

L'œuvre de Parks permet de jeter des ponts entre ces trois domaines : les sciences exactes, les sciences humaines et les mythes et légendes fondateurs de nos civilisations. Elle demeure totalement originale, à part, étonnante, plongeant le lecteur dans un ballet incessant de questions et de réponses, jouant avec les racines de nos mythes les plus fondamentaux, les décodages de langues anciennes et modernes dans le cadre d'une saga épique. Fiction ou réalité ? Le lecteur choisira.

Adam Genisis est donc le second opus des chroniques du Girku, l’œuvre en plusieurs volumes d’Anton Parks, qui retrace, textes à l’appui, l’histoire de la planète Terre et les raisons pour lesquelles, à un moment précis, a émergé de la réserve écologique terrienne, la lignée des hominidés. Ce deuxième tome réjouira les lecteurs du premier, car il reprend l’histoire là où l’auteur nous avait abandonné, moment crucial où le personnage de Sa’am/Enki du panthéon des "dieux sumériens" rejoint la Terre et marque de son empreinte une suite complexe et inexorable d’événements qui aboutiront à l’émergence de l’humanité d’abord primordiale, ensuite telle que nous la connaissons. Le projet "humanité", car il s’agit bien d’un projet, aurait du être une merveilleuse aventure du vivant et de la manifestation créée de l’intelligence. Malheureusement, cette aventure, comme le laisse sous-entendre les chroniques sumériennes et les textes bibliques qui en sont l’émanation expurgée et détournée, sera marquée par l’aliénation, la soumission, la souffrance qui marquent encore nos sociétés humaines. Ce destin lourd de souffrances et les limitations de l'appareil cognitif humain n'étaient pas prévus dans le programme de départ. A l'arrivée, l'homme contemporain expérimente une vie manipulée, mutilée, aliénée, faite de renoncement, d'ignorances et de subordinations.

Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi ? Quelles sont les raisons qui ont présidé à l’émergence de cultes monothéistes marqués par la faute originelle, la notion de punition, de soumission, aux concepts de purs et d’impurs, d'élus ou d'indésirables ? A cet égard, le second tome répond très bien à ces questions et l'interview qui suit nous offre des perspectives fascinantes.
Des visions confirmées par les textes sumériens :
Maintenant, comme nous l’avions déjà mentionné pour le tome 1 se pose le problème de la façon dont l’auteur a collecté ces informations et les a retranscrites. Depuis l’âge de 14 ans et pendant une durée de 10 ans, Anton Parks a été assailli par des visions qu’il ne pouvait contrôler, ordonner, dater. Il pensait au début recueillir des impressions visuelles sur un avenir improbable. Il lui faudra des années pour mettre de l’ordre dans ce déluge d’informations et surtout leur donner un sens. Lorsqu’il est en contact avec l’écriture et les textes sumériens, tout prend alors tournure et ses visions finissent par revêtir une réelle cohérence. On peut rester totalement sceptique ou hermétique face à ce type d’événement. Il reste le texte, les rapports tout à fait pertinents que l’auteur établit entre ses visions et des passages assez énigmatiques des chroniques anciennes, des écrits bibliques ou des textes apocryphes. Le lecteur ne pourra pas non plus échapper au décodage de la langue grâce au syllabaire sumérien. Enfin, Anton Parks nous décrit le fonctionnement des rapports de force entre les soit disant "dieux" du panthéon sumérien et égyptien en élargissant le tableau vers un colossale bestiaire galactique, les Short Greys des récits d'abduction contemporains et un combat extrêmement complexe et fascinant entre de multiples civilisations extraterrestres dont l’identité est codée grâce au syllabaire "Gina'abul sumérien". Levons maintenant le rideau sur l’interview et dévoilons les premières visions, les premières réponses contenues dans Adam Genisis.
Karmaone

Anton Parks : "La Terre a toujours été un lieu d'expérimentation"

Karma One : Le livre commence par une citation étonnante qui s’avère être l’une des plus anciennes tablettes sumériennes connue à ce jour. Je cite : "Les reptiles descendent assurément. La Terre est resplendissante comme un beau jardin. La lumière du jour ne brillait pas. Le clair de lune n’avait pas émergé". Outre les informations climatiques relatives à notre planète, on apprend noir sur blanc qu’une race reptilienne que vous dénommez Gina'abul ("lézard" en sumérien) est descendue sur terre, ce qui implique qu’elle venait d’ailleurs, des cieux. Est-ce qu’il y a eu des réactions de la part des linguistes, des historiens, des exégètes par rapport à cette citation ? Est-ce la seule qui parle explicitement de la venue de reptiles dans les tablettes sumériennes ? Enfin, à la lecture de votre ouvrage, on se rend compte qu’il y a de nombreux termes employés pour désigner diverses races et castes reptiliennes. Dans le cas présent, quel est le mot qui est utilisé dans le texte original ?

Anton Parks : Effectivement, cette citation est marquante. Je n'ai pas le souvenir d'avoir vu une quelconque réaction de la part d'auteurs ou d'historiens, mais je n'ai pas tout lu non plus. Non, ce n'est pas le seul exemple où les "dieux" sont assimilés à des reptiles. Il existe par exemple, les tablettes sumériennes de Kharsag qui datent du troisième millénaire av. J.-C. qui compare la déesse Ninhursag (Ninmah) à une Ninsir ("prêtresse serpent") et plus loin dans le texte, Enlíl à un "Splendide Serpent aux yeux brillants"… La particule sumérienne SIR ou ŠIR10 évoque "un serpent", son homophone ŠIR représente "la lumière" et la forme verbale ŠÌR veut dire "décider" et "obliger". Voici donc des attributs que l'on prête généralement aux "dieux". Nous pouvons également observer la similitude entre le SIR4 (ou ŠIR) sumérien dont le sens est "testicules" – véritable symbole de virilité – et le mot anglais "Sir" qui est un titre d'honneur réservé aux "hommes de bonne famille" ou "de bonne lignée". On trouve également ce terme dans le reste de l'Europe sous la forme "Sire", dénomination qui était attribuée aux seigneurs, aux empereurs et aux rois.
Cette démonstration nous amène donc à mettre le doigt sur une connexion entre les "dieux" sumériens et la royauté et la noblesse terrestre. Les différents "dieux" sumériens portent des noms reptiliens, Enki-Éa, souverain de l'Abzu (l'Abysse terrestre) – dit "le cloneur" – est dénommé, par exemple, MUŠDA ("puissant reptile") sur certaines tablettes.
Si mes souvenirs sont bons, le terme utilisé sur la tablette que vous mentionnez est MUŠ qui évoque à la fois un "reptile" et "un serpent". 

La suite de l'article sur le site  antonparks.com

Bibliographie de l'auteur :

  • Les chroniques du Ğirku, Tome 1 : Le Secret des Étoiles Sombres (2005), Nouvelle Terre, 2007 (édition corrigée et augmentée).
  • Les chroniques du Ğirku, Tome 2. : Adam Genisis, Nouvelle Terre, 2007.
  • Le Testament de la Vierge, Nouvelle Terre, 2009.
  • Les chroniques du Ğirku, Tome 3 : Le Réveil du Phénix, Nouvelle Terre, 2010.
  • Eden, Nouvelle Terre, 2011.
  • La Dernière Marche des dieux, Pahana Books, 2013.
  • Les chroniques du Ğirku, Tome 0 : Le Livre de Nuréa, Pahana Books, (prévision 2014)
  • Les chroniques du Ğirku, Tome 1 : Le Secret des Étoiles Sombres (récit intégral et inédit), Pahana Books, (prévision 2014)


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