Elysway, le Facebook des personnes décédées


Ils ont oser. Faut il en parler ou pas, de ce genre de site, cela aide-t-il à faire le deuil ?
J'en doute, partager sa peine avec les autres de cette façon, c'est se retrouver toujours seul devant un clavier, cela ne vaudra jamais un coup de fil ou une visite amicale.
Je vous en prie, laissez nos morts tranquilles !
Faites vous du fric sur les vivants si vous voulez, ils ont eux, les vivants, la possibilité de choisir.
C.R.

Une société belge a mis au point un réseau social pour les défunts. Baptisée « Elysway », la plateforme permet aux internautes de témoigner leur soutien et partager leurs souvenirs sur le profil du proche disparu.


« Il nous arrive à tous de perdre un être cher. Blanc ou noir, croyant ou athée, jeune ou vieux. Faire ses adieux est un phénomène universel ». Une société belge a développé un réseau social permettant aux internautes de créer des pages pour leurs proches décédés. L'objectif est clair : faire vivre la mémoire des défunts.

Un cimetière en ligne

Sobre, la page d’accueil d’Elysway rappelle celle de Facebook : une fois connecté, l’internaute peut taper le nom d’un être disparu dans la barre de recherche. Sur la plateforme, les internautes peuvent témoigner leur soutien, leurs condoléances, partager leurs souvenirs en postant un message, une photo ou une vidéo sur le profil du défunt.


« Elysway est un nouveau lieu de repos, un lien virtuel avec les cieux. Un lieu de mémoire numérique où des âmes de même opinion trouvent le réconfort, où les souvenirs perdurent et où les proches s'étreignent affectueusement, Elysway se veut être une maison où le mot perdre n'a pas de raison d'être » expliquent les concepteurs du site.

Les défunts ont leur QR-code

Si le géant Facebook permet déjà à ses membres disparus de transformer leurs pages sous forme de « compte mémorial », Elysway va plus loin en créant au défunt son  « QR-code » qui pourra apparaître sur la pierre tombale ou dans la rubrique nécrologique d’un journal.
Lancée le 28 octobre en Belgique, le réseau social gratuit et accessible en cinq langues, devrait ensuite être lancé dans plusieurs pays européens.

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