Vous avez dit Hasard ? ou azar ?

Après la lecture de cet article vous ne direz plus "par hasard" de la même façon.
C.R.

Isis et Osiris le couple sacré (Eden Saga)


Quelle évolution ?

L’histoire de notre espèce ressemble moins à une évolution qu’à une involution. Et c’est bien normal, la physique nous l’enseigne, l’entropie est croissante. Tout se dégrade. Notre espèce comme le reste.


Comment gober cette ineptie qu’on appelle l’évolution ? Ce n’est pas le progrès qui est inscrit dans les principes de la thermodynamique, c’est le déclin. Tout se passe comme si nous étions la dernière étape programmée d’une déchéance inéluctable. 

Un déclin voulu, une décadence qui semble forcée nous a privé graduellement de nos pouvoirs divins pour nous transformer en hommes-machines. Il y a deux cents ans, on était convaincu que Dieu avait créé le monde. Et puis vint la théorie de l’évolution et la mécanique céleste, Darwin et Newton, hasard et nécessité. Deux siècles plus tard, on s’aperçoit qu’on a lâché une religion pour une autre, plus stupide encore.

« Il était une fois une image du monde, démontrée d’une manière scientifiquement exacte, qui était âgée de 200 ans. Il ne restait que peu de choses à explorer, et le savoir couvrait véritablement l’univers… Ce conte moderne est le résultat des théories de la mécanique céleste d’Isaac Newton et de la doctrine de l’évolution entérinée par Charles Darwin. Une harmonie universelle est censée avoir toujours dominé. Selon ces principes, tout, y compris notre terre, s’est développé de façon progressive et uniforme.

Par hasard, un acide aminé a abouti à un unicellulaire. Il ne s’est pas ensuite développé en un bicellulaire, mais directement en une forme de vie complexe, comme nous l’enseigne la théorie de l’évolution. Même si cela devait être exact, il se pose une question qui jusqu’à présent n’a pas été formulée : d’où est venue la deuxième cellule, après que la première se soit formée par un hasard incroyable ? Y a-t-il eu plusieurs hasards incroyables, ou deux seulement, au début ?

Dans ce cas, il doit y avoir eu n’importe quand, un jour, un bicellulaire. Pourquoi ne trouve-t-on pas cet organisme dans la nature, ni un tri ou un tétracellulaire ? »

L’objection est de poids. Darwin blêmit dans sa tombe car il y avait déjà pensé. On nous a longtemps berné avec cette histoire de chaînon manquant entre le singe et l’homme. Ineptie ! Des chaînons, il en manque tellement qu’on cherche en vain la chaîne. Chacun voit qu’il n’y a pas besoin d’attendre le stade de l’homme pour buter sur un chaînon manquant. Et de quelle taille ! Il s’agit ni plus ni moins de l’origine de la vie organique sur cette planète : comment peut-on passer d’un être unicellulaire simple, comme l’amibe, à des êtres multi-cellulaires complexes ? Ils se composent  de cellules différenciées, assemblées selon un schéma directeur, un plan de montage, l’ADN. Et là, c’est un nouveau problème insurmontable.

« D’où vient le code génétique, comment est-il entré dans la cellule : c’est toujours une des plus grandes énigmes de la science. » Dès ce stade, tant qu’une réponse satisfaisante n’est pas apportée à cette question cruciale, on est en droit de douter. Plus on chemine, plus la vie se complexifie, plus nombreux sont les chaînons manquants. L’erreur de Darwin, une de plus, a été de s’en remettre au seul hasard pour expliquer la vie et l’esprit. Tout ce beau bazar serait le fruit du hasard ?



En entendant cette ânerie, Einstein a piqué un coup de sang : « Dieu ne joue pas aux dés ! » Puis le professeur Jacques Monod, darwinien fidèle, a présenté la vie, l’univers et l’homme comme purs produits du hasard et de la nécessité. Mais la nécessité, d’où vient-elle ? Les lois de la physique, qui les a faites ? Le hasard, d’où sort-il ? Sur ce point, un détour par l’étymologie peut alléger le débat. Hasard vient du mot arabe azar : l’université du Caire s’appelle Al Azar.
En arabe, azar s’écrit comme ouzir, ce qui n’en est pas un, de hasard. Car Ouzir, c’est Osiris. « Tout est le fruit du hasard » peut donc se dire : « tout est l’oeuvre d’Osiris ». Osiris, qui a créé l’homme. Décidément, quand on flanque le créationisme à la porte, il rentre par la fenêtre. Dans une perspective scientifique,  recourir à l’hypothèse créationiste semble exclu. Pourtant, en génétique, tout se passe comme si « on » était intervenu à plusieurs reprises sur le génome humain au cours de notre évolution.

De toutes nouvelles recherches dévoilent que l’un des appuis du darwinisme, qui paraissait jusque là très solide : la loi biogénétique fondamentale d’Ernst Haeckel, est une simple supercherie.

Lire la suite sur Eden Saga

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Dossier 1/4 - Dr. Judy Wood "Where Did the Towers Go ?" - WTC 11/09 - un ouvrage scientifique - une autre vérité

Le canon de Pachelbel, le son qui soigne