L'ENIGME DU SUAIRE DE TURIN sur la 5
On avance. Un peu seulement !
Le consensus se fait sur la datation : 1380-1430. Mais pas sur le procédé.
La datation correspond malgré tout à la date à laquelle il apparaît dans l'histoire.
En effet, la famille qui afficha la première fois le suaire le présenta non comme le suaire du Christ mais comme le suaire de la réédition de sa passion par Jacques de Molay dont la détentrice était très proche. Il a été en effet présenté par Jeanne de Vergny, cousine du grand maître, puis restauré par les sœurs de Notre Dame d'Orléans vers 1350. L'ordre de "dame dieu" était la cellule centrale du temple maintenu, dirigé par le connétable puis par les Stuarts et les Armagnac qui soutinrent Jeanne d'Arc, une "Jean".
La famille de Molay a joué sur les mots pour éviter toute forme d'inquisition. Proche de Du Guesclin, de Jeanne de Laval et d'autres membres de l'ordre de Notre Dame d'Orléans (dit de Sion) sous les auspices duquel la "présentation" fut faite.
Certes les sœurs de l'ordre de Notre Dame ont raccommodé le tissu de sorte que le prélèvement effectué récemment pour analyse et datation non en son centre mais en des points proches des réparations, pour ne pas l'endommager, fait polémique. Le Vatican aurait truqué de peur que l'appartenance du Suaire au Christ apporte la preuve que le Christ aurait été encore vivant à la descente de croix. Car mort, selon certains, il n'aurait pas pu imprimer le tissu de son sang fixé par les molécules chimiques de sa sueur et de sa douleur.
Il y a longtemps que cette information était connue dans les milieux initiatiques supposés venger la mort du Grand Maître. Certes sous la forme d'une allégorie concurrente de celle de l'Eglise romaine. Jeanne d'Arc elle-même y fait une allusion lors du procès de Troyes et espère récupérer le suaire à Orléans.
Le suaire est donc passé dans les mains de l'ordre du Temple. Mais au-delà, on ne sait rien de certain.
Ce jour 29 juillet 2015, France 5 (http://www.france5.fr/
- le suaire a été créé par un procédé photographique primitif, transmis ou retrouvé par les templiers et plusieurs modèles, imitant le Christ, sont proposés en concurrence ;
- le suaire provient bien de la décomposition "stoppée" d'un supplicié et il peut venir du Christ mais aurait fait l'objet d'une intervention sous les templiers (ce qui est de toute façon façon attesté) ;
- le suaire ne serait au final qu'une oeuvre d'art templière visant à encourager la dévotion des croyants et que diverses circonstances exceptionnelles auraient maintenue dans cette configuration unique.
La thèse de l'authenticité combinée à une manipulation chimique par le Temple semble curieusement au final la plus plausible...
Mais les scientifiques expliquent pourquoi elle ne peut être acceptée ni par les croyants, ni par l'Eglise, ni par ses opposants. Car elle remet tout en cause et notamment les conditions de la mort du Christ comme les découvertes transmises au Temple. Cela éclaire également la geste de Jeanne d'Arc dont les plus anciens des compagnons furent témoins de cette manipulation.
Le Temple aurait au final truqué le suaire non pour faire croire qu'il était celui du Christ mais pour cacher qu'il l'était vraiment et cacher à l'inquisition la conviction qu'ils avaient de fait : le Christ n'était pas réellement mort sur la croix.
Qui croire ?
Une énigme dont on a malgré tout bien l'impression qu'elle finira par livrer son secret et qui gène l'Eglise au final pas si ennuyée que cela qu'on pense que c'est un faux...
Patrice HERNU
29 juillet 2015
Références :
https://www.facebook.com/
http://www.france5.fr/
Science et Avenir - http://
Le consensus se fait sur la datation : 1380-1430. Mais pas sur le procédé.
La datation correspond malgré tout à la date à laquelle il apparaît dans l'histoire.
En effet, la famille qui afficha la première fois le suaire le présenta non comme le suaire du Christ mais comme le suaire de la réédition de sa passion par Jacques de Molay dont la détentrice était très proche. Il a été en effet présenté par Jeanne de Vergny, cousine du grand maître, puis restauré par les sœurs de Notre Dame d'Orléans vers 1350. L'ordre de "dame dieu" était la cellule centrale du temple maintenu, dirigé par le connétable puis par les Stuarts et les Armagnac qui soutinrent Jeanne d'Arc, une "Jean".
La famille de Molay a joué sur les mots pour éviter toute forme d'inquisition. Proche de Du Guesclin, de Jeanne de Laval et d'autres membres de l'ordre de Notre Dame d'Orléans (dit de Sion) sous les auspices duquel la "présentation" fut faite.
Certes les sœurs de l'ordre de Notre Dame ont raccommodé le tissu de sorte que le prélèvement effectué récemment pour analyse et datation non en son centre mais en des points proches des réparations, pour ne pas l'endommager, fait polémique. Le Vatican aurait truqué de peur que l'appartenance du Suaire au Christ apporte la preuve que le Christ aurait été encore vivant à la descente de croix. Car mort, selon certains, il n'aurait pas pu imprimer le tissu de son sang fixé par les molécules chimiques de sa sueur et de sa douleur.
Il y a longtemps que cette information était connue dans les milieux initiatiques supposés venger la mort du Grand Maître. Certes sous la forme d'une allégorie concurrente de celle de l'Eglise romaine. Jeanne d'Arc elle-même y fait une allusion lors du procès de Troyes et espère récupérer le suaire à Orléans.
Le suaire est donc passé dans les mains de l'ordre du Temple. Mais au-delà, on ne sait rien de certain.
Ce jour 29 juillet 2015, France 5 (http://www.france5.fr/
- le suaire a été créé par un procédé photographique primitif, transmis ou retrouvé par les templiers et plusieurs modèles, imitant le Christ, sont proposés en concurrence ;
- le suaire provient bien de la décomposition "stoppée" d'un supplicié et il peut venir du Christ mais aurait fait l'objet d'une intervention sous les templiers (ce qui est de toute façon façon attesté) ;
- le suaire ne serait au final qu'une oeuvre d'art templière visant à encourager la dévotion des croyants et que diverses circonstances exceptionnelles auraient maintenue dans cette configuration unique.
La thèse de l'authenticité combinée à une manipulation chimique par le Temple semble curieusement au final la plus plausible...
Mais les scientifiques expliquent pourquoi elle ne peut être acceptée ni par les croyants, ni par l'Eglise, ni par ses opposants. Car elle remet tout en cause et notamment les conditions de la mort du Christ comme les découvertes transmises au Temple. Cela éclaire également la geste de Jeanne d'Arc dont les plus anciens des compagnons furent témoins de cette manipulation.
Le Temple aurait au final truqué le suaire non pour faire croire qu'il était celui du Christ mais pour cacher qu'il l'était vraiment et cacher à l'inquisition la conviction qu'ils avaient de fait : le Christ n'était pas réellement mort sur la croix.
Qui croire ?
Une énigme dont on a malgré tout bien l'impression qu'elle finira par livrer son secret et qui gène l'Eglise au final pas si ennuyée que cela qu'on pense que c'est un faux...
Patrice HERNU
29 juillet 2015
Références :
https://www.facebook.com/
http://www.france5.fr/
Science et Avenir - http://
Commentaires