Sedan 1615, une bien étrange histoire


« SIGNES » DANS LE CIEL DE SEDAN AU XVIIe SIECLE
 

Ce document a été découvert par mon amie et complice Alexandra Schreyer dans les archives d'une ville de l'Est de la France, Guy Tarade.
Les très étranges apparitions de Sedan au mois de novembre 1615 :
Ces phénomènes, qui se déroulèrent dans cette grande ville des Ardennes, méritent de retenir notre attention. Les textes rédigés, à l’époque, évoquent pour nous certaines manifestations ufologiques des temps présents !


Signes épouvantables dans le ciel de Sedan – synthèse simplifiée

Le huitième Novembre 1615, à vingt trois heures du soir il fut observé d’étranges lumières dans le ciel de la ville de Sedan : l’une avait la forme d’une immense lance rouge le feu : L’autre était plus lumineuse et avait la forme d’un petit Balai. Celles-ci furent aperçues par la sentinelle qui était de garde ce soir là. Celle-ci fut tellement épouvantée à la vision de ces deux lumières dans le ciel, qu’elle en prit peur et abandonna son poste.

L'homme était tellement apeuré que son cri ameuta toute la communauté villageoise cette dernière étant persuadée qu’un ennemi venait pour l’attaquer.
Hommes et femmes sortirent de leur maison.

Les hommes ce rendirent à l’arsenal pour se munir de leurs armes tandis que les femmes allumaient des feux un peu partout afin de faire fuir les étranges lumières démoniaques...





Les capitaines couraient et s’affairaient sur les remparts du château pour voir au dehors quelque troupe ennemis, mais ils ne virent et n’entendirent rien aux environs de la vallée bordant le périmètre du château.
Les gens de la ville furent épouvantés par ces deux lumières qui évoluaient dans l'espace.
Le gouverneur fit appeler ses capitaines sur le champ afin de leur demander ce qu’elles étaient les raisons de ce raffuts.
Les sieurs de Chaumarests et de Rochecourbe, lui répondirent que la sentinelle était morte de peur en se présentant au corps de garde...
Après avoir débattu avec ses capitaines de cette singulière histoire, Le gouverneur resta très songeur.
Les capitaines furent tout à coup surpris par un bruit qui venait de l’extérieur, ce bruit était semblable à une fusée qui aurait été jeté en l’air. Le regard des militaires fut soudainement attiré vers le ciel. Ils virent « un être de flammes », il avait une grande chevelure et tenait une très grande « lance ardente » comme un flambeau.
Une demi-heure plus tard, arrivèrent deux autres hommes de flammes. Tout deux étaient solidement harnachés sur de grandes montures ardentes.
Les capitaines, non qu’ils fussent sans peur engagèrent un combat contre ces êtres de lumière. Le combat fut soutenu assé longuement et les êtres furent rapidement mis hors d’état de nuire.
Cependant un des êtres qui fut terrassé par un des capitaines, qui lui trancha la main tenant une « épée tout flamboyante ». L'arme tomba dans la rivière de la Meuse.
Hommes et femmes levaient les yeux au ciel afin d’implorer la miséricorde du Seigneur. Puis on ferma les portes du village…
La nuit suivante fut encore plus effroyable que la précédente.
Toujours vers les vingt trois heures, il fut entendu par la population, une sorte de vrombissement identique à celui que ferait un torrent qui s’abat du haut d’un précipice. Ce bruit semblait également mêlé d’un son qui rappelait un rugissement de lion, un mugissement de taureau ainsi que de hennissements de chevaux et de cris humain…
Ce qui confina les villageois dans une terreur effroyable. Vers les Minuit une tornade s’abattit sur le village et le château en détruisant sur son passage de nombreuses habitations.
A une heure du matin la tornade s’atténua mais non l’émoi du peuple.
A une heure et demie, il se fit entendre dans la ville le bruit d’un chariot allant à vive allure. Les gens se mirent aux fenêtres. Ils virent un bien étrange spectacle :
un chariot traîné par trois grand animaux, quasi identiques à des éléphants mais blancs comme neige, ils avaient les yeux plus gros que la tête d’un homme. Le char était de couleur rouge feu il avait la forme d’une cuve à lessive dans laquelle se trouvait le conducteur. « Un monstre » semblable à un homme mais grande taille: Il avait la tête deux fois plus grosse qu’un homme, sa figure était de couleur jaune safran, il possédait un gros nez épaté. Sa bouche se trouvait sur sa poitrine qui était extrêmement velue. Il n’avait pas de barbe et ne possédait qu’un œil au milieu du front…
Le monstre hideux jetait des cris épouvantables et fit trois le tour des grandes rues du village. IL croisât une garnison et le monstre les menaçât, la garnison prit peur et se sauva. Puis celui-ci arriva à la grande place du marché, il s’y arrêta et jeta un cri si strident et si terrifiant qu’il terrorisa la ville tout entière…
Quand le jour fut venu, les gens purent constater que sur la place du marché il n’y avait plus qu’un grand monceau de cendres à l’emplacement ou le monstre s’était arrêté, et ses restes furent jetés dans la Meuse…
Sedan retrouva sa tranquillité et n’entendit et ne vit plus jamais ces épouvantables phénomènes.
NOTA: De nombreuses villes de France conservent encore dans leurs archives des récits identiques à celui-ci !

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