Le porc déchaîne les polémiques

Je me suis souvent demandé pourquoi certaines religions interdisaient la consommation de viande de porc. Certains diront c'est parce que c'est dans les écritures... Pour moi ce n'est pas suffisant ! S'il fallait faire ou pas faire ce qui à été écrit il y a 2000 ans et plus, la vie serait un enfer pour certains. Viande halal ou cascher, même questionnement. 
Les réponse sont évoquées dans cet article, le sang serait le véhicule de l'âme, d'où l'obligation de saigner un animal, quand au porc, viande noble puisque proche de l'humain, il serait dédié aux prêtres et aux aristocrates et interdit au peuple, trop impur. 
Cependant cet article traite en premier lieu des récentes découvertes de chromosomes communs entre le porc et l'humain. Le porc domestique serait un OGM racontent les plaques sumériennes... erreurs de traduction ou pré-histoire méconnue ? Patrice Hernu nous donne son avis sur la question.
En tout cas, au pays des rillettes ça va chauffer... C.R. 

Le porc déchaîne les polémiques : retour arrière sur les manipulations génétiques des civilisations antédiluviennes !

Depuis que les généticiens ont confirmé que le porc est un sanglier avec deux chromosomes supplémentaires, apparentés à deux chromosomes humains, l'un lointainement, l'autre plus précisément, on est dans le délire plus complet.  Il faut empêcher la vérité de se faire jour. Quelle vérité ? Deux éléments :
  1. Cet ajout n'aurait rien de naturel. Bref, le porc serait un OGM ;
  2. Ce trafic de gêne est très clairement évoqué dans les écrits sumériens qui les imputent aux dits anunakis, sans doute les fermiers du jardin, hyperboréens antédiluviens qui maintiennent comme ils peuvent leurs savoirs et techniques malgré la supériorité numérique des "lulus", les hommes primitifs qui sont évidemment "à leur image". Et pour cause !

Je reviendrai dans un autre article sur l'épisode dit de la création du "sapiens sapiens" à partir du génome trafiqué d'un Adam, après qu'un ovule fécondé par ce mélange a été implanté dans le ventre de l'épouse d'Ea. De sorte que dans la translittération biblique lointaine, on peut discuter si Eve est la propriétaire de cet ovule ou si c'est l'épouse d'Ea. Toujours est-il que le modèle obtenu - à quel stade ? - fut répliqué et implanté dans le ventre de deux fois 7 princesses du jardin qui donnèrent naissance à 7 mâles et 7 femelles.

Ainsi se trouvent expliquées - j'y reviendrai - les erreurs de traduction et de compréhension intervenues lors du recollement de la Bible. Comment ces 72 grammairiens et les auteurs perdus des textes intermédiaires pouvaient-ils avoir la moindre idée de ce dont parlaient en fait ces textes !

Depuis plus de trois ans, je lis et je relis sans relâche ces textes pour tenter de comprendre intimement leur processus allégorique, sémantique, social et historique, en écartant tout ce qui a pu être écrit à leurs propos. Je n'avais pas toujours pas "décidé" si ces textes constituaient de géniales allégories ou si ces accouchements - le premier au bénéfice d'une césarienne qui ne provoquera pas la mort de la mère -, ou si les seigneurs anunakis, si directement compatibles avec le sapiens, possédaient réellement des connaissances et des techniques génétiques que nous approchons par une autre voie.

Par une autre voie parce que la technique génétique, si elle est avérée, est présentée comme approximative dans ses effets.



Trois éléments sont très impressionnants malgré tout :



  1. Tous les humains du moins européens au sens large - c'est là évidemment que la polémique commence ! - semblent bien descendre de sept mères primordiales. Elles auraient vécu à une période située entre 12 000 et 45 000 ans. Ce seraient les mères de tous les Européens, ou presque. D'après l'Institut Max Planck, la proximité avec l'une de ces mères semble corrélée avec la présence d'allèles issus du Néandertal, d'où l'intérêt que je porte à la rencontre entre le sapiens et le Néandertal. Ce professeur de génétique anglais, Brian Sykes enseigne à Oxford, et c'est à lui que les autorités ont fait appel pour identifier les restes des Romanov, la famille du dernier tsar de Russie assassiné par les bolcheviks. C'est encore lui qui a travaillé sur le corps de l'Homme des glaces, cet homme préhistorique vieux de 5 000 ans trouvé en 1991 dans les Alpes italiennes. Sa thèse, très documentée, a été malheureusement exploitée dans un livre (trop) médiatique « Les Sept Filles d'Eve », et comme elle bouscule les idées reçues, elle ne fait pas l'unanimité. Toutefois, au-delà de la polémique, les calculs semblent établir que toute l'humanité actuelle descendrait de 33 clans, donc issus d'Afrique, et qu'environ 90 % des Européens R1B descendraient de 7 femmes originelles. N'entrons pas dans le débat, pour n'en conserver que l'idée essentielle. L'explosion des connaissances s'est vraisemblablement produite à l'ouest et non à l'est, sur un territoire restreint. Toutes les découvertes récentes vont en ce sens. Cette explosion, suivie d'une implosion,  est liée à la rencontre de cette tribu noire avec le néandertal. Et si elle n'est pas forcément issue d'une manipulation génétique - qui aurait pu avoir pour but de sauver cette tribu de la disparition programmé du Y - mythe d'Osiris sur lequel je reviendrai -, elle représente l'allégorie du sauvetage de ce qu'on peut peut-être considérer comme la descendance symbolique de Noë, à moins que cela ne concerne un événement antérieur.  
  2. Le porc représente le témoin sans équivoque que la transposition d'une partie approximative du génome humain, en deux étapes semble-t-il, a été effectuée à une période semblable.  
  3. Les textes sumériens et les représentations mythiques abondent de références à des mélanges plus ou moins réussis de deux sources de vie.

Sans aller jusqu'aux créatures grecques comme le Minotaure ou comme les hypostases métissées de l'Egypte, pour s'en tenir à la tradition sumérienne et éviter les déformations trop lointaines, selon Bérose, la "divinité" Belos, dont il était un prêtre historien et savant, fit apparaître différents "êtres hideux produit par un principe à double forme (ou hélice)". Évidemment, jusqu'à une période récente, on ne vit dans ces tentatives que le fruit d'une allégorie prévenant des dangers de vouloir reformuler la nature autrement qu'elle nous a été léguée par les "dieux" ou l'évolution.

Mais dès lors que nous disposons de tablettes décrivant de tels essais et expliquant que la survie de la tribu à la connaissance explosée sinon explosive a fini par dépendre de la production d'une population "métissée" en quelque sorte, après de nombreux essais, clairement détaillés dans les textes, il est nécessaire de se reposer la question sans tabou, ni non plus sans emballement comme ces auteurs qui croient lire dans ces textes la description de l'intervention d'extraterrestres. En fait ces textes, répètent à l'envie que ces anunakis, que la Bible traduira par Elohim, sont des hominidés totalement compatibles.


La Bible reprendra d'ailleurs cette idée que tous les sapiens ne descendent pas de ces 7 sœurs (même si le 7 est juste et parfait), "les dieux ayant découvert que les terriennes étaient belles,  ils leur firent des enfants".

Évidemment, ce ne sont pas les dieux qui firent des enfants mais les déesses, bref les habitantes du jardin qui se firent faire des enfants par les "lulus", en raison de l'impuissance des hommes de leur tribu ! C'est le problème du Y qui guette toute espèce.  Mais patriarcat biblique aidant, la réalité a été transposée. Si bien que ces tribus décrétèrent que la transmission ethnique se faisait malgré tout par la mère. Cette thèse étant contestée, j'y reviendrai. Elle n'est pas indispensable. Il reste que la Bible explique bien qu'il y a plusieurs ethnies - on n'ose plus dire races : faut-il interdire la Bible ? - selon que les enfants descendent des 7 mères (R1B), du mariage interfécond (J1, J2) et des autres. Évidemment, Caïn et Abel symbolisent le début de la bataille de la légitimité qui n'est ABSOLUMENT pas notre sujet.

Il est donc difficile de  penser que ces textes ne contiennent aucune bribe de vérité. Faute de quoi il faut jeter la Bible aux orties, elle qui n'est qu'une pâle copie historique, mais ajoute une dimension éthique parfois absente des textes d'origine. Car la morale et la justice des dits "dieux" "ne sont pas celles des hommes" !

Ces dieux sont bien humains ! Si cet être "divin" s'appelait Belos, ce qui veut dire "Seigneur", comme un seigneur féodal au fond, on lui donna plus tard le nom de "Deus", en sumérien dont, je ne le rappellerai jamais assez, procède essentiellement notre langue, une langue sacrée. Cela aussi je ne le rappellerai jamais assez. Elle est notre kabbale, la vraie pour nous.  Ce "deus" est tout un programme puisque dans les archétypes sumériens il superpose deux visions du deux, ou du double. Celui de Zeus, puisque ce deux prononcé à la grecque vient de ce "deus" qui le précède et non le suit par le latin... Et celui du principe à double forme. Le premier divise divinement pour former la Terre, tandis que le second tente de réunir ce que la création a séparé.

Ainsi selon Bérose "Des Hommes apparurent avec des ailes, certains avec quatre, deux visages,... celui d'un homme et celui d'une femme... On pouvait voir d'autres figures humaines avec des jambes et des cornes de chèvre. Certains avaient des pieds de chevaux, d'autres les membres de la croupe d'un cheval, mais par devant ; ils étaient façonnés comme des hommes, ressemblant à des chevaux-centaures. De même il y  avait des taureaux croisés avec des têtes d'hommes ; des chiens avec quatre corps et des queues de poissons..." Etc. Etc.

Oannès, un des principes à double forme 
Oannès, un des principes à double forme  

Une amie m'a confirmé avoir observé ce qui reste des dessins du temple de Bélos à Babylone, des dessins parfaitement explicites.  Evidemment, ces représentations sont à 2000 ans de distance du premier report connu des mythes sumériens, lesquels rapportent des faits remontant vraisemblablement à près de 8000 ans en arrière. Il faut donc envisager l'hypothèse qu'ils pourraient constituer la trace mnésique  d'évènements réels, puis fantasmé avec l'amnésie rendue nécessaire par les vols successifs de la tradition dont Sumer et Akkad furent friands au fil des changements d'aristocraties et de pouvoirs.

Nous reviendrons sur les techniques de métissage ADN qui semblent utilisées pour permettre à Enki et à la Seigneure Ninhoursag de métisser la "race" des hyberboréens, ou anunakis, ou elohim, avec les "lulus" (cueilleurs) pour les mettre au travail tandis qu'eux-mêmes ne pouvaient plus se reproduire suffisamment pour cultiver le jardin, aller à la mine et servir les offices urbains. Car ce sont les soit-disant dieux qui travaillaient sous le regard amusé des lulus, d'où la révolte des anunakis. Retenons pour l'instant la description des innombrables essais de Ninhoursag dont Enki - littéralement le diviseur primordial pour la première brique vivante incarnée - était tenu pour responsable devant le conseil des Néfilim (autre nom pour Anunakis et Elohim selon  les tablettes et l'idiome).

En clair, si procédé il y a eu, il consistait à créer une mixture (qui a été traduite en Akkadien par Nephistu) qui malgré les multiples précautions de laboratoire qui sont prises et décrites, comporte une issue  non totalement déterminée. Or, pour en revenir à l'ADN du porc, le passage de 36 chromosomes pour le sanglier à 38 pour le porc semble s'être faite en deux étapes. Un passage à 37 n'aurait qu'une parenté assez éloignée  avec les allèles humains, tandis que l'ultime chromosome lui aurait conféré la compatibilité avec la chair humaine.


Le porc a été longtemps affilié au sanglier en raison de leur ressemblance. Or grâce aux analyses ADN, on sait désormais que le porc actuel ne descend pas directement du sanglier, mais du cochon sauvage. Selon Wikipédia, en effet, d’après les paléozoologues, il y a bien eu séparation dès la Préhistoire entre les ancêtres du sanglier et ceux du porc domestique. En clair, si l'on retient l'hypothèse devenue vraisemblable d'une mutation génétique due à une technique approximative - qui est peut-être en cours d'identification par les généticiens - non directement comparable aux dernières découvertes et ne nécessitant pas forcément une civilisation "technologique", le porc créé par les Nefilim n'aurait pas été maintenu dans le "Jardin" premier, aurait vagabondé malgré ou en raison de l'interdit dont il a fait l'objet dès l'origine pour les lulus, avant d'être redomestiqué.

[Dans les Mabinogi, légendes bretonnes très anciennes remontant peut-être au VIe siècle, mises en écrit par les Gallois au XIIIe siècle, ces animaux apparaissent comme un nouvel animal exotique et sont à l'origine d'une guerre entre deux tribus bretonnes (de Grande-Bretagne)]. Cela confirme cette histoire possible. Car, en revanche, si l'on remonte bien plus avant, le porc apparaît au contraire comme la nourriture privilégiée des constructeurs de Stonehedge, des pyramides de Bosmie, du site de Gobekli Tepe (sur le village proche d'Urfa, le vrai village d'Abraham)...
 toujours posé la question du pourquoi

Le porc était donc réservé à l'usage des "Seigneurs".

Il était d'ailleurs de couleur noire, ce qui semble indiquer que les chromosomes ajoutés au sanglier viendraient de sapiens noirs. Sans doute les hominidés étaient-ils tous noirs à l'époque même si les écrits sumériens différencient nettement les "têtes noires" des néfilims ou anunakis (cf. le mythe dit de la Pioche). C'est tout simplement que ces allégories sont transcrites plusieurs  milliers d'années après les faits et la bataille fait rage entre les populations blanches (Sumer), Kémito-sémites (Akkad) et les autres considérés comme inférieures par les scribes sumériens. Ce racisme instrumentalisé s'aggrave évidemment avec la Bible où la belle et jolie Lilith - féminin de Lulu associant Lith de la Pierre qui est le symbole de la féminité à l'époque !) - qui a pourtant été celle qui a donné, au moins symboliquement -  son ovule à Eve. On en rediscutera ! Mais les sémites, de noirs et khémites sont devenus blancs comme l'explique la Bible. Comme les Européens un peu plus tôt. Tous les peuples suivent la même évolution en fait. Mais Lilith la noire deviendra la Gorgonne, la femme maudite qui va instrumentaliser le mal et la jalousie de Caïn.  Le christianisme, dans la suite de la spiritualité de Denderah, restaurera le symbolisme de la Mère originelle, Isis (le nom grec), la Grande Kem  (le nom égyptien), en  vierge noire !

Bref, le porc est noir. Au moyen-âge, il l'est encore. Il devient rose à force de sélection naturelle. Comme quoi le blanc est dans le noir...

Le sapiens et le porc sont les seuls à exprimer des gênes éteints depuis des millions d'années, trace de notre origine aquatique et réveillés à l'occasion de son éveil comme sapiens. Cette question demeure encore une inconnue scientifique. J'ai qualifié ce phénomène de "régression positive", comme cela est arrivé pour les dinosaures devenus oiseau. L'homme est poisson, oiseau et reptilien. Il couvre symboliquement les trois états de la biosphère. Autre sujet.


(Je renvoie sur ce point à l'article que j'ai écrit l'année dernière : L'Homme est-il le dernier poisson terrestre ? La preuve par le porc ou réciproquement !  ou à la théorie de l'Homme aquatique)

 Ce partage entre le porc et l'homme de caractéristiques absentes de la plupart des autres mammifères, et en tout état de cause des cousins du sapiens et du porc, non seulement apporte un élément de confirmation incontournable du métissage génétique mais surtout anéantit totalement la théorie qui vient d'apparaître.

Selon Eugene McCarthy, de l'Université de Géorgie, lequel est également l'un des leaders mondiaux des autorités sur l'hybridation chez les animaux  "L'espèce humaine a commencé comme la progéniture hybride d'un porc mâle et une femelle chimpanzé".

C'est tellement gros qu'on peut se demander si finalement ce n'est pas un hoax. Il reste que le porc a deux chromosomes apparentés à l'homme et pas l'inverse ! 
C'est tellement gros qu'on peut se demander si finalement ce n'est pas un hoax. Il reste que le porc a deux chromosomes apparentés à l'homme et pas l'inverse ! 

Lire plus : http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2515969/Humans-evolved-female-chimpanzee-mated-pig-Extraordinary-claim-American-geneticist.html#ixzz2mEsKVwp1 ou encore en résumé : http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2515969/Humans-evolved-female-chimpanzee-mated-pig-Extraordinary-claim-American-geneticist.html

Le procédé est cousu de fil blanc. Dès lors  qu'on a découvert désormais de manière incontestable que le porc était un sanglier avec, en plus, deux chromosomes issus de l'ADN humain, la question des origines de cette hybridation et ses motifs se posent.

Les motifs sont clairs. Outre la possibilité de faire des greffes compatibles avec les tissus humains - conjecture - les textes anciens avancent une autre raison. La viande de porc est ADN-compatible avec l'homme : elle apporte à l'homme de manière économique des protéines sans risque de contamination par l'animalité génétique. Cette viande était donc réservée aux "dieux" et interdite aux peuples primitifs.

Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il fallait élever le porc dans des conditions sanitaires à l'image des hommes. En effet, le revers de la compatibilité est que toute maladie du porc se transmet à l'homme. Il ne pouvait être question que les travailleurs - des esclaves en fait - ne meurent en série pour avoir élevé cette bête fragile dans de mauvaises conditions. L'interdit est donc sans doute essentiellement sanitaire.

L'analyse sémantique du parcours du substantif  "Nephistu " de l'Akkadien jusqu'au Nephesh de la Bible garde en fait une trace de cet interdit et l'idée, absurde - c'est une erreur de translitérration de l'allégorie originelle - que le sang est le véhicule de l'âme. (J'y reviendrai en évoquant la genèse sumérienne de l'humanité).

Alors pourquoi cette précipitation  "scientifique" à révéler ce qui jusqu'à présent était tabou ?

Évidemment pour justifier l'interdit du porc. S'il s'agit de la viande des dieux interdites aux peuples primitifs, la consommation de porc est au contraire un acte de libération de l'esclavage imposé par ceux-ci, en fait des sapiens. On voit d'abord d'où vient l'idée de s'affranchir de l'esclavage de l'Egypte. C'est une remontée d'un refoulé bien antérieur. On sait qu'il n'y a jamais eu de sortie d'Egypte, sauf pour les dynasties Hyksos et les assassins de Ramsès III. C'est une affaire aristocratique. En Egypte, l'aristocratie (celte) des 18 et 19eme dynastie consomme du porc et du poisson. Pour le poisson, ils domestiquent des pélicans dans une sorte d'échange avec eux en protégeant leur progéniture de leur propre folie (Cf mon texte sur la hache et le pélican).



Évidemment si le porc précède l'homme et si l'homme descend  d'une femelle singe, on peut comprendre l'interdit ! C'est répugnant ! Apparemment. Mais ce métissage improbable ne peut suffire à conférer au porc les caractères "aquatiques" de l'homme, par exemple le fait que la graisse s’accumule sous la peau et non dans les tissus musculaires. Comme pour un phoque qui lui aussi fait communiquer sa narine et sa bouche, d'où de terribles ronflements avec l'âge, quand il dort...

Ces gênes n'y sont pas arrivés par hasard. Alors comme cela l'évolution aurait ajouté deux chromosomes au sanglier juste pour permettre l'apparition de l'homme ! Quelle idiotie de la part d'un des plus grands scientifiques quand il faut justifier une pratique religieuse contre l'évidence de la science.

Car ces gênes sont des gênes régressifs, venus de nos lointains ancêtres amphibiens,  réapparus chez l'homme et non pas chez les chimpanzés.

Tout est clairement décrit dans les dernières traductions des tablettes par les services américains. Alors quelque scientifique en mal de notoriété et pour masquer la vérité et justifier un interdit, jette volontairement de la confusion là où tout est clair. Ces lobbies vont sans doute obtenir qu'on retire de wikipedia toute allusion au partage de ces chromosomes. Je viens de vérifier. C'est déjà fait. Le feront-ils retirer de la législation européenne où cela figure en toute lettre ?

Evidemment pour comprendre, il faut se rappeler que dieux est un mot qui n'existe pas dans ces textes. Ce sont Anunakis ou Elohim ou Nephilim. Et vénérer est la traduction d'un mot qui voulait dire "travailler pour".

C'est la question la plus souvent posée à l'oral de l'ENA quand on veut couler un candidat !

Patrice Hernu 



Notes complémentaires
1) Les scientifiques confirment

Quand les scientifiques sont pris au piège de leurs propres tabous, ils font semblant de découvrir ce qu'on sait depuis des millénaires et que les généticiens savent depuis des dizaines d'années. La preuve, cela figure depuis des années dans la réglementation européenne pour distinguer le porc du sanglier. Quelle blaque !  Mais ne nous plaignons pas que la vérité soit enfin acceptée.  Et cette vérité constitue la preuve absolue que les récits sumériens sont authentiques et que la génétique leur était connue.  http://www.maxisciences.com/cochon/le-cochon-encore-plus-proche-de-l-039-homme-qu-039-on-ne-pensait_art27532.html

2) D'autres se ruent pour retenter les manipulations antiques, celles qui avaient pour but de prolonger la vie des Elohim (LOL, bref, les seigneurs antédiluviens du Jardin)

Evidemment, certains apprentis-sorciers ne se cachent pas la vérité.
A votre avis, pourquoi ce type de mise en culture (décrite par les textes parlant des temps antédiluvien) fonctionne ?
Je laisse cette information à l'appréciation de chacun.
http://french.ruvr.ru/news/2014_01_04/Les-scientifiques-japonais-travaillent-sur-la-creation-d-un-cochomme-2476/

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