La lévitation par le son






La  lévitation  par  le  son  commence  tout  juste  à  être  étudiée  par  nos  scientifiques  actuels  . Cette  science  oubliée  a  très  probablement  été   utilisé  par  les  moines  tibétains  .  Grace  à  l'  emploi  de  sons  appropriés  ses  derniers  pouvaient  faire  léviter  d'  enorme  blocs  de  rochers  .
Récemment  , des  scientifiques  chinois  ont  montrés  qu' ils pouvaient  faire léviter  des petits  objets  et de  même  manière  des  petits  animaux  vivants  en  les  soumettant  simplement  à  des  sons  .
La  lévitation  par  le  son  était  jadis  utilisé  par  les  moines  Tibétains  .


 
Henry Kjellson, un pionnier de l’Industrie aéronautique suédoise a laissé une description très précise sur la façon dont les moines tibétains bâtissaient les murs des temples ou ermitages au sommet de falaises rocheuses de quelques centaines de mètres de haut.


Les pierres de 1,5 mètres carrés de surface étaient amenées sur un plateau quelques centaines de mètres plus bas par des yacks et placées sur un trou creusé à cet effet en forme de bol de 1 m de diamètre et 15 cm de profondeur. Le trou se trouvait à 100 m du pied de la falaise, et à 63 m de ce trou (et de la pierre), espacés par des intervalles de 5 degrés jusqu’à former 1/4 de cercle, se trouvaient 19 musiciens en petits groupes. Derrière ces musiciens se trouvaient 200 prêtres ou lamas alignés par files de dix derrière chaque musicien. Les instruments utilisés par les musiciens consistaient en 13 tambours et 6 trompettes de tailles différentes.
Au commandement du chef lama, la "Musique" commencait avec un tambour géant latéral de 150 kg suspendu à une charpente qui le maintenait en l’air, qui donnait la "mesure". Chaque trompette avait deux moines qui se relayaient pour souffler deux fois par minute chacun. Les 6 trompettes étaient toutes pointées vers la pierre. Après environ quatre minutes de cette "Musique", la pierre commençait à quitter le sol. Le son des instruments accompagné par le "chant" des lamas s’amplifiait et la pierre lévitait dans une direction parabolique de 400 m jusqu’au sommet de la falaise. Le rythme de lévitation de ces pierres était de 5 à 6 par heure.
Le livre dont ce passage est extrait est intitulé "The cycles of Heaven". Les auteurs sont : Guy Lyon Playfair et Scott Hill. Il est publié par Souvenir Press à Londres.
 "Le pouvoir du son, lévitation". On y mentionne l'histoire d'Henry Kjellson, industriel Suédois qui parti sur les hauts plateaux Tibétains pour une expédition au début des années 30. Il y découvrit une étrange cérémonie où des musiciens lamas Tibétains jouèrent en une sorte de demi-cercle avec 13 grands gongs de peaux, suspendus horizontalement à des chevalets de bois, orientés vers le centre, tout comme les trompes géantes et les trompettes qui les accompagnaient. Il y avait en plus de cela une place bien spécifique pour chacun, sans compter 200 moines derrière eux qui avaient pour rôle de tenir une sonorité avec leurs voix. Cet forme de demi-cercle était tourné vers une sorte de coupe polie dans le sol rocheux à une soixantaine de mètre des moines. Cette même coup se trouvant elle-même à environ 100 mètre d'une falaise. Cette cérémonie avait pour objectif d'amener de grosses pierres du sol à une hauteur de 400 mètres dans la falaise où des grottes étaient aménagées pour des retraites solitaires de moines. "En 1939, un ami de Kjellson, le Dr. Jarl qui travaillait pour la Société Scientifique d'Oxford, fut appelé au Tibet pour soigner le lama Rimpoché de ce monastère. Lors de son séjour auprès des moines, il put filmer à deux reprises cet étrange rituel de lévitation des pierres. Mais la Société d'Oxford s'appropria ces films car elle désirait les garder secrets jusqu'en 1990. Ils ne sont pas encore sortis des archives de cette auguste institution à ce jour, malgrès tous les efforts de nombreux chercheurs." http://bm7.vip-blog.com

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